Cousine: la reprise !

Utilisateur anonyme - 15 sept. 2010 à 01:04
 Utilisateur anonyme - 24 sept. 2010 à 22:28
Tendre Philomène, Je ne sais point compter pour égrener le temps Mais je sais simplement qu’il me faut m’empresser. Puisqu’il faut vous conter, mais sans vous oppresser Je vous dirai dûment que j’ai curé l’étang. En effet les travaux que les champs nous réclament Sont venus me quérir lors de mon arrivée. J’ai couru monts et vaux, la chaumière privée Me laissant bien chérir par tous ceux qui m’acclament. J’ai rentré des gerbes et fauché du sainfoin, Puis fané les herbes qu’on foulait avec soin. Voilà pour le retard qui vous a tant peinée (!) Aujourd’hui libéré de tous ces grands devoirs Je suis là, tempéré, vous portant vos avoirs. Vous me voyez sans fard, en chaleur entraînée (!)

1 réponse

Utilisateur anonyme
24 sept. 2010 à 22:28
!
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