Imaginez une suite différente de celle de V.Hugo au vers : "Demain, dès l'

Utilisateur anonyme - Modifié par tiphaine-b le 1/10/2014 à 16:12
 Utilisateur anonyme - 24 oct. 2010 à 00:48
Imaginez une suite différente de celle de V.Hugo au vers : "Demain, dès l'

Poème ou récit.
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2 réponses

Utilisateur anonyme
22 oct. 2010 à 22:01
Demain, dès l’aube où blanchit la campagne, je partirai au volant de ma voiture. A l’arrière, mes enfants chahuteront comme à l’ordinaire. J’élèverai le ton afin de m’octroyer une pincée de calme saupoudrant des notes de musiques, un horoscope et des infos sur une onde radio. Le portail s’ouvrira tout comme cette route jonchée de virages, d’embouteillages et de feux rouges. Au loin une école se dessinera. Parents et bambins de tout poil s’activeront car le savoir n’attend pas. Suite à des échanges de baisers, je tournerai le dos aux cris et aux rires enfantins. La portière de ma voiture à peine refermée, je spéculerai sur ma journée de labeur car la pointeuse n’attend pas. Au bas de larges bâtiments, je garerai ma voiture. Je longerai des allées et des vitres fumées en me disant « peut-être le verrai-je ? ». Le « peut-être » étant l’imperfection et le « verrai-je » étant le délit. Je poserai mes doigts sur un interrupteur laissant jaillir une lumière sur des bureaux et des dossiers. Le téléphonera sonnera plusieurs fois. Je le décrocherai chaque fois. Ce n’est qu’à l’approche de midi que la question reviendra. Sournoise, malhabile et coupable, elle m’accompagnera. Le « peut-être » s’envolera car je le verrai. Nos regards s’ancreront l’un à l’autre. Puis, je baisserai les yeux. Son regard se détournera de moi… C’est ainsi que les silences s’installent. C’est ainsi que les espoirs se perdent de vue. Ainsi va la vie alors que l’espoir reviendra quand demain, dès l’aube où blanchit la campagne, je partirai….
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Utilisateur anonyme
24 oct. 2010 à 00:48
je partirai les cailloux du chemin, rouleront devant moi; je les écarterai, je marcherai vers toi, mon front levé vers le soleil naissant; j'ignorerai la fatigue en pensant, à toutes ces années passées à te chercher; mais tu sais, je te retrouverai où que tu puisses être, du plus profond de moi, jamais je n'ai douté,et aujourd-hui, je crois, je crois en cet espoir, un jour, de te revoir. et la neige de nos cheveux, aura fait de nous, un couple heureux
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