5 réponses
Honnêtement, il est trop bien et Bernard WERBER est fidèle à lui-même. Se lit très bien et est très captivant. En fait, on ne le lit pas on le dévore et on le vit.
Vous n’avez pas trouvé la réponse que vous recherchez ?
Posez votre question
J'ai été un peu déçu.
Je trouve qu'il y a beaucoup de répétitions avec ses précédents ouvrages : les Anges, les Dieux, Paradis sur mesure, le Papillon des étoiles, etc...
Les personnages que l'on pouvait trouver intéressants dans les premiers romans sont devenus des clichés à force de se répéter : l'Asiatique fort en arts martiaux et informatique, la jeune fille autiste et extralucide, etc...
Une histoire qui traîne en longueur avec des rebondissements médiocres (le policier qui a perdu son chat, la marchande de gâteaux, c'est pire qu'Amélie Poulain).
Ce qui m'a mis le plus mal à l'aise, c'est les clichés sur la futurologie qui parcourent le bouquin d'un bout à l'autre. L'écrivain qui nous invitait à penser "hors de la boîte", de toute religion, secte, idéologie ou doctrine nous propose ici des poncifs de conversation de comptoir : le futur c'est la pollution, les dictatures, les maladies et la surpopulation (ou alors c'est peace and love, avec des fleurs, des biches et des petits lapins dans Paris, un peu comme sur les livrets des témoins de Jéhovah). C'est manichéen à en crever.
Je t'en prie, Bernard, renouvelle un peu ton répertoire !
Je trouve qu'il y a beaucoup de répétitions avec ses précédents ouvrages : les Anges, les Dieux, Paradis sur mesure, le Papillon des étoiles, etc...
Les personnages que l'on pouvait trouver intéressants dans les premiers romans sont devenus des clichés à force de se répéter : l'Asiatique fort en arts martiaux et informatique, la jeune fille autiste et extralucide, etc...
Une histoire qui traîne en longueur avec des rebondissements médiocres (le policier qui a perdu son chat, la marchande de gâteaux, c'est pire qu'Amélie Poulain).
Ce qui m'a mis le plus mal à l'aise, c'est les clichés sur la futurologie qui parcourent le bouquin d'un bout à l'autre. L'écrivain qui nous invitait à penser "hors de la boîte", de toute religion, secte, idéologie ou doctrine nous propose ici des poncifs de conversation de comptoir : le futur c'est la pollution, les dictatures, les maladies et la surpopulation (ou alors c'est peace and love, avec des fleurs, des biches et des petits lapins dans Paris, un peu comme sur les livrets des témoins de Jéhovah). C'est manichéen à en crever.
Je t'en prie, Bernard, renouvelle un peu ton répertoire !