Utilisateur anonyme
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8 juin 2010 à 08:34
Utilisateur anonyme -
26 sept. 2010 à 19:10
Arpentant la grand rue aux bruits tonitruants
J’ai reniflé tout bons des parfums singuliers ;
Quand sur eux je me rue comme un jeune truand
Je vole sans rebonds de mon port séculier.
Le mode qui régule ajoute à chaque instant
Des façons de porter le devoir des mortels.
Mais, hélas, les pendules qui égrènent le temps
Ne font que conforter le rite des cartels.
Montrant leur jolie peau des nymphes en goguette
Sont venues pour jouer empourprées de beauté.
Un porteur d’oripeau qu’ici, sans bruit, je guette
A fini par flouer notre principauté.
Son remède est fatal car le mal est ancré
Et sa dose létale n’est surtout pas sucrée.