Adieu Camarade
Utilisateur anonyme
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Modifié par charlene-v le 22/02/2017 à 13:45
Utilisateur anonyme - 21 nov. 2010 à 10:59
Utilisateur anonyme - 21 nov. 2010 à 10:59
8 réponses
Tres beau Catherine....j'ai failli partir,mais je reste..pourtant les"corbeaux" sont pugnaces,surtout ce soir!!!!!!!!!
J'espere que ton ami,fera comme moi...
Le poète pour autant n'est point mort.
Merci amie ton aide m'apporter.
Puisqu'à deux il nous faut décider;
Ceux qui seront les plus forts.
Merci amie ton aide m'apporter.
Des mots choisis préférer les plus retors.
De nos mots croisés, nous serons plus forts.
De nos mots partagés, ainsi plus légers.
De nos mots partagés et plus tendres,
Combien sauront parler de nos sourires,
De notre joie commune qui s'appelle vivre?
Du mot amour qu'il nous faut apprendre.
Apprendre le mot amour?
Quand un rire surgit de tes rimes,
Ma plume l'espère et le sublime
Ecrivant tremblante ce toujours.
Amie, veux-tu devenir mienne?
Celle qui de mes mots je serai amant?
Celle qui de copains ne sera pas d'avant?
Amie, veux-tu devenir mienne?
Cet ami que je n'ai pas nommé est parti définitivement, sans laisser de trace. Vous deux, Jean-Marc et Bernard, malgré votre ras-le-bol, êtes restés et j'en suis très heureuse.
Bernard, bien sûr que je suis ton amie. Je t'ai "donné" mon amitié, et tu sais bien que donner c'est donner, reprendre c'est voler. Il faudrait me faire un coup vraiment vache pour que je me dédise. Femme de parole je suis ! Oui, je sais, c'est plutôt trare. Où est l'exception ?
Cordialement, CFM
Le camarade est parti
Dites adieu à l'ami
Et non pas à vos souvenirs
Qu'aucune âme ne peut salir
Le camarade s'en est allé
Sans se retourner
A présent, il repose en paix
Un repos, une paix, tous deux mérités
Acceptez son départ, son choix
Puis, déposez un baiser sur sa croix
Vous n’avez pas trouvé la réponse que vous recherchez ?
Posez votre question
Mon grain de sel
O race (!) Tu défais, au grand jour, ta cuirasse
Et perds les repères qu’ont tissé tous nos pères.
Bon nombre de penseurs aujourd’hui s’exaspèrent
En voyant le niveau de l’épaisse mélasse.
Bien sûr, chacun a voix au chapitre du Su
Et peut donc étaler sa douce confiture.
Mais pourquoi cuisiner ces plats et ces mixtures
Qui ne laissent à voir que peine et déçus.
Le passé nous servit d’innombrables arcanes
Où l’ésotérisme camouflait l’intention.
Aujourd’hui nos pensums livrés sans punition
En spontanéité vomissent leurs chicanes.
Faut-il donc espérer puiser dans notre histoire
De bien meilleurs projets à défendre sans fard.
Est-il enfin venu ce temps de la fanfare
Où cessent les bretteurs d’aimer les champs de foire.
Le crapaud averti ne sait plus conseiller
Car sa bave crachée a dopé l’ingénue.
Etrangère au brocard la belle dans ses nues
Ne sent que le parfum qui la tient éveillée.
Elle n’a pour seule foi que les mots de son cœur
Et fait de l’amitié son unique credo.
Trouvant l’ataraxie dans cet Eldorado
Elle convie tous ses pairs à fuir les arnaqueurs.
Sa posture nouvelle est faite de parades
Qui telle un torero esquive les assauts.
Et sans être parjure elle surprend tous ces sots
Qui remettent du sel sur leurs fades charades.
Adieu camarades volés par l'océan
Quand vos plaintes se mêlent au vent
Il pleut sur la rade sur nos cœurs et pourtant
D'autres vous rejoindront surement
Oh frères du port nos yeux toujours chercheront
Les fleurs lancées par dessus bord recouvrant l'écume d'ajoncs
Adieu camarades perdus dans la tourmente
Maudissez la vague insolente
A jamais vos noms en nos âmes dolentes
Elles écoutent la mer qui chante
Adieu camarades du pays des légendes
Faites que le saint patron vous entende
Demandez lui de 'veiller sur ceux qui vous attendent
Sur un bout de granit et de lande.
Bonjour Monique,
Merci pour votre beau poème. Il y a des atomes crochus dans l’air, tant mieux : l’amour de la mer, de l’océan, l’amour des mots et des choses bien dites. C’est le rendez-vous des muses pour ces messieurs et des sigisbées pour ces dames. Tout ce petit monde bien inspiré nous met de bonne humeur, et nous aide à surmonter les coups durs. On en a parfois bien besoin !
Je vous souhaite la bienvenue sur le site.
Merci pour votre beau poème. Il y a des atomes crochus dans l’air, tant mieux : l’amour de la mer, de l’océan, l’amour des mots et des choses bien dites. C’est le rendez-vous des muses pour ces messieurs et des sigisbées pour ces dames. Tout ce petit monde bien inspiré nous met de bonne humeur, et nous aide à surmonter les coups durs. On en a parfois bien besoin !
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