2 réponses
Je ne connais du monde,
que cette terre ronde,
Les oiseaux ,en mon coeur,
Eveillent la douceur.
Je ne sais plus crier,
Je ne sais plus pleurer;
Je jette ces journeaux,
Au fond de mes fourneaux.
Et, lorsque toi, poète,
Tu frappes à ma fenêtre,
Je ne me gausse pas,
Je lève enfin ma tête.
Je ne connais du monde,
Que ce que je veux voir,
Aujourd'hui, grâce à toi,
J'ai vu enfin l'espoir.