Utilisateur anonyme
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12 janv. 2010 à 10:08
Utilisateur anonyme -
13 janv. 2010 à 08:43
Instruit par des murrhines des sagas mortifères
J’ai enfin dégusté les goûts de nos aïeuls.
Combien de figurines ont peuplé notre terre
Pour ainsi flibusté et brûlé tant d’éteules.
Vantant tous les mérites les oracles disaient
Que seule la Vertu méritait le regard ;
Et les vaillants, au rite, souvent se déguisaient
Pour se rendre pointus à trancher dans le lard.
Aujourd’hui sur le NET on poursuit le combat
Pour entamer le jeun au gré de nos ancêtres.
Agitez vos manettes, souris de branle-bas :
Vos écrans, pour le fun, diront votre mal être.
Ainsi va notre temps qui recense tous les âges
Depuis l’antiquité qui inventa la poudre.
On répète en chantant pour se donner courage
Que souvent l’équité nous mène à en découdre.
Le doux calme du Zen est ainsi une légende
Car les premiers à dire sont les premiers à faire.
On compte des dizaines et millions de la bande
Qui, sans cesse, de maudire sont surpris dans l’affaire.
Le fait de l’écrivain qui croit mériter mieux
Ne fait pas le redoux dans l’immense tempête.
Et l’histoire dit en vain que, las, parmi les vieux
Beaucoup dans la gadoue se traînent comme des bêtes.