Utilisateur anonyme
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22 août 2010 à 18:56
Utilisateur anonyme -
11 oct. 2010 à 21:04
Le vieux jars dit niais gardait tout son mordant,
Montrait à son oison l’étoffe de ses vues (!)
Du passé il niait avoir fui les revues
Car toujours sa maison eut le ton discordant.
Montrait à son oison l’étoffe de ses vues
Ce bel oiseau féru d’un humour si tordant
Car toujours sa maison eut le ton discordant
Pour traquer la verrue des idées imprévues.
Ce bel oiseau féru d’un humour si tordant
Lisait son testament, contait ses entrevues ;
Pour traquer la verrue des idées imprévues
Il enquit instamment l’oison aussi mordant.
Lisait son testament, contait ses entrevues
Ce jars qui fut jadis le meneur accordant ;
Il enquit instamment l’oison aussi mordant
Pour porter jusqu’à dix les révoltes prévues.
Ce jars qui fut jadis le meneur accordant
Redoutait aujourd’hui des heures dépourvues.
Pour porter jusqu’à dix les révoltes prévues
Le vieux jars dit niais gardait tout son mordant
J'ai un pote agé
qui connait
un jardinet
où ce vieux jars dit niais
n'est point celui qu'on croyait
puisqu'ensemble ils s'octroyaient
l'infime plaisir de sembler niais
aux regards du nid est,
l'oison du pote agé son reflet...