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3 réponses
Adieu n'est pas au revoir, Antoine, tu le sais,
Car le sens des mots, mieux que moi tu connais.
Le moteur à essence précieuse a remplacé
Les rames pesantes et difficiles à manier.
L'expérience en amour avec les ans passés
Est plus utile que plus belle machine inventée.
En tout cas l'aventure que nous avons vécue
Vaut son pesant d'or sans caresser l'écu...
Reddition
Messieurs, comment expliquer, après la lecture
De ces textes poignants portant vos signatures,
Le désarmement auquel je suis confrontée ( ?)
A court de résistance, je crains d’être boutée.
Mes certitudes fondent comme neige au soleil.
J’étais partie battante, mais ce n’est plus pareil.
Vos vagues déferlantes minent la forteresse
Où je me croyais saine et sauve de détresse.
La force de vos mots vient de tout saboter.
Je sens que je naufrage, l'âme dépitée.
Mais avant de sombrer, cette ultime missive :
N’y a-t-il congénère à bord de cet esquif
Pour me seconder avant le coup décisif ( ?)
Pitié, j’ai si peur, seule sur la défensive ( !)
N'ayez donc peur de voguer ainsi pour votre salut (!)
Cette escapade apparentée à l'évasion met fin à un emprisonnement prononcé comme peine à une faute fictive, inventée par les adveraires du Cousin Onaryc (!)
L'idée de régler ses comptes transcende notre rameur occasionnel (!)
Sirènes, accompagnez notre héros, sans bruit (!)