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c'est là, dans cette ecole desaffectee, face au cimetiere, que je veux me reposer; laisser-moi en paix, je ne veux pas de vos paillettes; là je monterai l'escalier de bois raide et de son craquement je menivrerai, au gre du vent frais je voguerai libre comme l'oiseau noir perdu dans la nuit sombre; seul retentira la cloche de l'église et le froid du soleil de midi me reveillera;
merci;
Le ressac des souvenirs la trouble profondément
il agite son esprit qui sommeillait doucement.
Son faible cœur comprimé s’emballe un peu
cherchant dans les méandres des temps heureux
de quoi entretenir pour un temps un souffle de vie
rares instants bienfaisants pour ce corps flétri.
Amicalement.
Guy Gabriel