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55 réponses
Utilisateur anonyme
je ne saurais pas le faire, je laisse ce soin et le talent à Jean Ferrat
aimer à perdre la raison
aimer à ne savoir que dire
à n'avoir pour toi d'horizon....
et ne connaitre de saisons
que par la douleur du partir...
aimer à perdre la raison......
aimer à perdre la raison
aimer à ne savoir que dire
à n'avoir pour toi d'horizon....
et ne connaitre de saisons
que par la douleur du partir...
aimer à perdre la raison......
Utilisateur anonyme
Bravo à toutes! Super...encore...
Tout est là pour nous séparer
Le silence et l'immensité
Les gens qui tournent autour de toi
Si nombreux que tu n'me vois pas
Mon coeur qui bat quand je te vois
Me fait si mal tu sais parfois
Que j'ai envie de m'éloigner
Mais je n'peux jamais dire jamais...
C'est un Amour Impossible
Qui pour moi reste Possible
Plus tu t'éloignes et plus j'avance
Au rythme d'une étrange danse...
Tu parles intarissablement
Pour te saouler avec des gens
Moi seule sais ce qu'il y a en toi
Mais ça tu ne leur diras pas
D'être avec moi seule te fait peur
Tu te fuis par peur du bonheur
Je devrais te laisser couler
Mais je préfère encore rêver...
Utilisateur anonyme
Amour impossible !
je tes aimer , a ma façon ,
mais toi tu ne la pas vue ainsi ;
tu es partie avec une autre ,
et tu na pas vue que moi je t'aimais:
sincèrement , mais au fil du temps ;
j'ai appris a oublier ; mais mon amour pour toi :
restera a jamais graver dans mon coeur :
par yveline !
je tes aimer , a ma façon ,
mais toi tu ne la pas vue ainsi ;
tu es partie avec une autre ,
et tu na pas vue que moi je t'aimais:
sincèrement , mais au fil du temps ;
j'ai appris a oublier ; mais mon amour pour toi :
restera a jamais graver dans mon coeur :
par yveline !
Utilisateur anonyme
Qui me dira la volupté
De son corps mince et cardinal
Que l'on voit, au froid matinal,
Frémir... leste en sa nudité ?
Qui me dira la joie unique
Du vent, le soir, dans la feuillée
Où j'ai goûté l'ombre mouillée
De l'herbe lisse au chant magique ?
Mais que me sert de vous savoir
Secrets d'encens et sombres gloires,
Puisque j'ai bu à perdre haleine
L'Amour, dans un vase d'ébène
Où j'ai noyé mon désespoir !
Puisque j'ai pris à pleines mains
Dans l'ivresse, le pain, le vin,
Que j'ai brûlé ma pauvre vie
Aux regards de ses yeux meurtris
Beaux, frivoles, cruels et vains !
Michèle Lenain
Utilisateur anonyme
Mi,
Francis Cabrel exprime très bien l'histoire d'un amour impossible avec sa chanson l'encre de tes yeux.
Puisqu'on ne vivra jamais tous les deux
Puisqu'on est fou, puisqu'on est seuls
Puisqu'ils sont si nombreux
Même la morale parle pour eux
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
Je l'ai puisé à l'encre de tes yeux.
Je n'avais pas vu que tu portais des chaines
A trop vouloir te regarder
J'en oubliais les miennes
On rêvait de Venise et de liberté
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
C'est ton sourire qui me l'a dicté
Tu viendras longtemps marcher dans mes rêves
Tu viendras toujours du côté
Où le soleil se lève
Et si malgré ça j'arrive à t'oublier
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
Aura longtemps le parfum des regrets.
Utilisateur anonyme
Qui me dira la volupté
De son corps mince et cardinal
Que l'on voit, au froid matinal,
Frémir... leste en sa nudité ?
Qui me dira la joie unique
Du vent, le soir, dans la feuillée
Où j'ai goûté l'ombre mouillée
De l'herbe lisse au chant magique ?
Mais que me sert de vous savoir
Secrets d'encens et sombres gloires,
Puisque j'ai bu à perdre haleine
L'Amour, dans un vase d'ébène
Où j'ai noyé mon désespoir !
Puisque j'ai pris à pleines mains
Dans l'ivresse, le pain, le vin,
Que j'ai brûlé ma pauvre vie
Aux regards de ses yeux meurtris
Beaux, frivoles, cruels et vains !
Michèle Lenain
Utilisateur anonyme
Elle avait cet air révolté
Des martyrs devant le bûcher
Sa chevelure mal coiffée
Léchait son ovale désuet
Son regard têtu et sans âge
Laissait deviner son courage
Et son look de clodo sauvage
Détonnait dans le paysage
Et je la regardais
La Madone des oubliés
Je crois que je l’aimais
La Barbarella des paumés
Mais je n’ai pas osé
J’avais peur qu’ell’ me rie au nez
Jamais je n’oublierai
Ma S.D.F. en liberté
Faudrait pourtant que j’ me décide
Et tant pis si je fais un bide
Je lui offrirais à fumer
Et puis à boire et à manger
Elle accepterait en souriant
Je deviendrais son confident
Et puis un soir main dans la main
Dans ma maison jusqu’au matin
Et là je l’aimerais
La Madone des oubliés
Et je la garderais
La Barbarella des paumés
Mais j’ai jamais osé
Toujours peur qu’ell’ me rie au nez
Jamais je n’oublierai
Ma S.D.F. en liberté
Un jour elle s’en est allée
Mon univers s’est écroulé
Elle a déserté nos rivages
Pour un ailleurs sans un nuage
Je suis resté comme une bête
Priant une impossible quête
J’ai intégré son univers
Pauvre oasis dans mon désert
Et je la chérirai
La Madone des oubliés
Toujours je l’aimerai
La Barbarella des paumés
Tant pis j’ai pas osé
Ell’ ne me rira plus au nez
Jamais je n’oublierai
La Madone des oubliés
Utilisateur anonyme
Bravo, pour toutes ces poésies, pour moi pas moyen d'en écrire une.
Pourtant, j'ai vécu un "Amour impossible""
Utilisateur anonyme
Qui me dira la volupté
De son corps mince et cardinal
Que l'on voit au froid matinal,
Frémir... svelte en sa nudité ?
Qui me dira la joie unique
Du vent, le soir, dans la feuillée
Où j'ai goûté l'ombre mouillée
De l'herbe lisse au chant magique ?
Mais que me sert de vous savoir
Secrets d'encens et sombres gloires,
Puisque j'ai bu à perdre haleine
L'Amour dans un vase d'ébène
Où j'ai noyé mon désespoir !
Puisque j'ai pris à pleines mains
Dans l'ivresse, le pain, le vin,
Que j'ai brûlé ma pauvre vie
Aux regards de ses yeux meurtris
Beaux, frivoles, cruels et vains !
Michèle Lenain