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7 réponses
Merci Marie-Hélène, chère petite sœur,
Tu as bien raison, il faut toujours commencer par balayer devant sa propre porte. A mon tour, je te présente tous mes femmages. Je suis sûre que Papa, dont nous avons hérité de la propension à « ruer dans les brancards », serait fier de nous. Bien affectueusement.
Merci Antoine, capitaine au long cours,
Ohé, elle est finie, la vitesse de croisière.
C’est parti pour la régate, assez louvoyé (!)
Je n’ai même plus le temps d’assurer mes arrières,
Maintenant c’est le spi qu’il me faut déployer.
Il souffle une bonne brise à serrer au plus près.
Heureusement, j’ai mis des provisions en cale.
La météo est bonne, la faux est aux arrêts,
Larguons les amarres. Et à la prochaine escale ( !)
Catherine Friedel-Monnery
Tu as bien raison, il faut toujours commencer par balayer devant sa propre porte. A mon tour, je te présente tous mes femmages. Je suis sûre que Papa, dont nous avons hérité de la propension à « ruer dans les brancards », serait fier de nous. Bien affectueusement.
Merci Antoine, capitaine au long cours,
Ohé, elle est finie, la vitesse de croisière.
C’est parti pour la régate, assez louvoyé (!)
Je n’ai même plus le temps d’assurer mes arrières,
Maintenant c’est le spi qu’il me faut déployer.
Il souffle une bonne brise à serrer au plus près.
Heureusement, j’ai mis des provisions en cale.
La météo est bonne, la faux est aux arrêts,
Larguons les amarres. Et à la prochaine escale ( !)
Catherine Friedel-Monnery
Vous êtes l'Avocate incontestable de ce fruit des fendus (!)
En effet, sous prétexte de mettre de l'ordre dans les idées l'Ordre religieux installe tellement de désordres , dont on perdu les comptes , aujourd'hui (!)
Montrons donc l'exemple avec notre bonhomie (!)
Messieurs, je suis ravie. Que c’est plaisant de converser ici ! Je viens d’être nommée « avocate du fruit des fendues » et j’en suis fière. Je me permets de mettre le mot au féminin, vous comprendrez tantôt pourquoi. En fait, j’aimerais être l’avocate de la femme-pécheresse.
Rien de bien nouveau, me direz-vous. Rassurez-vous, je ne vais pas vous reprocher, vous les XY, de nous accuser, nous les XX, de tous les maux. Il faut enfin changer de stratégie. En fait, je m’insurge contre le peu de solidarité récurrente entre femmes.
A mon tour de poser une question bien embarrassante : On connaît tous le mot HOMMAGE, serment d’allégeance, voire de collégialité entre hommes. C’est le grand secret de votre supériorité. Qu’attendons-nous pour instaurer de même le FEMMAGE ? Il me semble que là serait la clé d’un bon équilibre. Chacun et chacune y trouverait son compte.
A ce propos, je suis en train de fignoler un poème à publier prochainement. C’est ce qu’on appelle jouer avec le feu ? Je sais, la manieuse de faux est aux aguets ! Alors chiche ?
Je rends femmage à Catherine qui, d'une pomme, d'une banale pomme baffrée par Adam, trop heureux sans doute de se faire servir, aboutit au martyre du sexe faible (!) enduré depuis la génèse. Soit patiente, Catherine, bientôt sera reconnue la supériorité de notre genre !
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A nos deux amours (!)
Femme pétulante qui active mes sens,
Reste bien vigilante à mener notre danse
Et me faire oublier ma nature virile
Qui se laisse lier au talent puéril.
Mer, tu nous fascines, remuée par tes vagues,
Lorsque tu dessines sur les bords que tu dragues.
Je vois dans ton bas fond un immense miroir
Où mon regard profond va se perdre le soir.
Contre vos deux natures l’homme lutte toujours
Sans jamais être sûr de n’être point vautour.
Agitant ses viscères accrochés à ses tripes
Il joue à l’émissaire qui s’acharne et s’agrippe.
Avec ses certitudes il tire tout le monde
Dans cette servitude de l’argent qui abonde.
Rien ne vient s’opposer au triste mouvement
Où l’on voit se poser les banquiers indûment.
Femme Libératrice séduis nos dirigeants,
Et fais l’institutrice pour les plus indigents.
Un peuple de terriens, en quête de progrès,
Veut éviter aux siens de nourrir des regrets.
O mer! Qui, quelquefois, engloutit nos bateaux
Enfouis cette foi où l’argent est fléau,
Pour que seuls les billets qui voguent impunis
Soient les mots habillés des amants réunis.