Cousine (21): le choc, oh, Là !

Utilisateur anonyme - 27 sept. 2010 à 13:31
 Utilisateur anonyme - 19 oct. 2010 à 23:15
Cousin, mon bien aimé, Mes doigts sont étourdis à tenir votre pli Dont l’horrible valeur a frappé mon réveil. Je sens que ce malheur, à nul autre pareil, De mes sens engourdis a sonné le repli. Vous dîtes, sans égards, votre façon de voir Et jetez aux orties un amour si fidèle. Je sais que vos sorties, au feu de la chandelle, Visaient les boulevards équipés d’abreuvoir. O méprise fatale où, soudain, vous plongez Avec chute brutale à qui, las, vous songez. Cessez la confusion en changeant de nature. Sans dam, je reste prête à vous chérir encore Car mon cœur ne s’apprête à freiner votre corps. Mettez en réclusion ce projet de rupture. Votre Philomène résolue.
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1 réponse

Utilisateur anonyme
19 oct. 2010 à 23:15
"Philomène mène, mène Ses galants au pré Philomène traîne, traîne Un coeur ensorcelé."
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