Ordre de "malts"

Utilisateur anonyme - 8 janv. 2011 à 22:32
 Utilisateur anonyme - 12 janv. 2011 à 01:33
Je n’étais qu’un fétu, prisonnier d’un air lourd Aberlour, Comme un vieux cep noueux gâté par le mildiou, Cardhu, La vie posait sur moi ses yeux de matamore Cragganmore, Et mon cœur se vidait, fatale hémorragie ! Glenmorangie. Quand chaque son n’est plus que sonnerie aux morts, Bowmore, Quand la voix s’assombrit, qu’elle s’esquinte au chant, Auchentoshan, Qu’il semble nous manquer tout ce qu’il manque à l’âne, Macallan, Chaque pierre croisée s’érige en iceberg, Ardberg. Quand on voudrait jeter sa vie brute à la benne Bunnahabbain, Et que la triste nuit nous mène au bord du lac, Mortlach, Par ces chemins tordus où nos pas se risquèrent Talisker, Comment donc éviter, la nuit, qu’elle aille là ? Caol Ila. Un rien pourtant suffit, peine je te relègue ! Ledaig Un souffle de soleil qui s’étire aux matines, Tomatin, Un air frais, vivifiant comme un vieux rock en do, Knockando, Subtil et malicieux comme un violon Yiddish, Glenfiddich. Un sourire accroché à deux yeux qui l’aguichent, Bruichladdich, Deux caravelles bleues que de longs cils haubanent, Oban, Un cœur voleur de cœur : délicieux kleptomane, Kilchoman, J’ai oublié Suzon et je n’ai pas vue Line, Lagavulin. Mon ciel sombre céda face à cette avanie Balvenie, En s’avouant vaincu, amer il abjura Isle of Jura, Et j’embrassai la vie, à la vie à la mort Dalmore, Oubliant, insouciant, ceux que le cafard glace. Glenfarclas.

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Utilisateur anonyme
12 janv. 2011 à 01:33
Est l'histoire d'une perle sur un océan d'herbes Laquelle un matin clair voguer a voulu Pourtant vers le ciel s'élançât comme une gerbe Qu'elle n'ait eu un coeur qui s'y résolût Alors de ci de la voyageant dans le monde Se roulant sur la terre comme la roue sur rails N'hésitant pas une fois à poursuivre sa faconde Partie je suis se dît elle : où que j'aille ? (Bon c'est du direct !)
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