Utilisateur anonyme
-
23 sept. 2010 à 17:03
Utilisateur anonyme -
24 sept. 2010 à 22:26
J’entends le cri fervent de gens désabusés
Qui blâment les écrits pondus de bonne foi ;
Ces bruits sont dans le vent, d’un avis, las, usé,
Présentant les proscrits comme des hors la loi.
Certains naissent Génie, avec un don fini,
Ne vont pas à l’école des tout petits niais.
Ils ont le cul béni et dans l’ignominie
Ils brûlent la bricole des gamins reniés.
Bien tenus à l’effort, ces preux creusent leur vie
D’un labeur soutenu, de leurs dents acérées.
Quand on voit cet éphore adoubé au parvis,
Le souffle retenu, on nie ses avérées.
Echappez à la cour où l’on donne les droits
De vivre sans menace au dessus de la tête.
Visez la basse cour où l’on marche tout droit
Non courbé mais la face, affranchie, en conquête.
Pensez à ces progrès qu’on fait dans l’expérience
En mettant son ouvrage au métier à tisser.
Quittez vos simagrées au profit de la science
Avec du courage vous pourrez ratisser.