Je recherche la suite de ce passage dont je me rappelle par coeur
Résolu
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77 réponses
Bonjour.Mon grand père né en 1900 ,zouave au Maroc nous racontait pour notre plus grand bonheur une version équivalente dont j' ai oublié hélas des passages.Je pense qu il s agissait de conte /blague transmis oralement (et donc soumis a variations)par les soldats pour se divertir lorsqu ils étaient innocupés.
Bonjour,
A la lueur d’un réverbère éteint.
C’était un soir d’été, la veille de noël. J’étais assis, debout au bord du milieu de mon lit. Dehors le tonnerre grondait en silence. Je croyais apercevoir l’ombre d’un éclair au travers des volets fermés à clé, curieux de ne pas vouloir levé ce doute qui planait à terre, je me saisissais d’un verre plein de vide et le boire à l’aide d’une paille pleine ; et j’ouvris les volets.
Dehors un jeune vieilliard, tout nu habillé de blanc, assis sur une pierre en bois, lisait, les mains dans les poches, un journal censurés à la lueur d’un réverbère éteint. Je le contemplais les yeux fermés. Un homme passe : c’était sa femme dont la mère n’était pas encore née. Il lui dit « je préfère mourir que de perdre la vie ».
Soudain l’homme entendit un léger bruit : BOUUM !!! C’était un hippopotame qui volait de branches en branches. L’homme prit son épée et le fusilla. L’animal tomba à terre et quand il se releva il était mort.
Le capitaine des pompiers qui passait par là, dans une lointaine contrée, pleurait dans son casque. Quand le casque fut plein, un goutte tomba sur un noyau d’olive dénoyautée et germa
C’était beau mais c’était triste.
Le pompier avança à reculons et d’un coup de pied de la main sûre, creva le ventre du vieillard en pleine figure.
Pendant ce temps un éléphant gazouillait sur les branches fleuries d’un poteau télégraphique.
Quant à moi, je montais quatre à quatre les trois marches qui menaient à la cave pour descendre au grenier. Je regardais par le trou de la serrure qui était bouchée et je vis un nègre blanc : à la recherche de chair fraîche de 15 ans ; qui déterrait les morts pour les manger vivants ! Puis je regagnais mon lit en plein milieu de la cuisine en attendant que cette nuit étrange laisse place à un nouveau jour.
L'auteur est inconnu (certains l'attribut à Robert Desnos) et existe une myriade de variantes.
A la lueur d’un réverbère éteint.
C’était un soir d’été, la veille de noël. J’étais assis, debout au bord du milieu de mon lit. Dehors le tonnerre grondait en silence. Je croyais apercevoir l’ombre d’un éclair au travers des volets fermés à clé, curieux de ne pas vouloir levé ce doute qui planait à terre, je me saisissais d’un verre plein de vide et le boire à l’aide d’une paille pleine ; et j’ouvris les volets.
Dehors un jeune vieilliard, tout nu habillé de blanc, assis sur une pierre en bois, lisait, les mains dans les poches, un journal censurés à la lueur d’un réverbère éteint. Je le contemplais les yeux fermés. Un homme passe : c’était sa femme dont la mère n’était pas encore née. Il lui dit « je préfère mourir que de perdre la vie ».
Soudain l’homme entendit un léger bruit : BOUUM !!! C’était un hippopotame qui volait de branches en branches. L’homme prit son épée et le fusilla. L’animal tomba à terre et quand il se releva il était mort.
Le capitaine des pompiers qui passait par là, dans une lointaine contrée, pleurait dans son casque. Quand le casque fut plein, un goutte tomba sur un noyau d’olive dénoyautée et germa
C’était beau mais c’était triste.
Le pompier avança à reculons et d’un coup de pied de la main sûre, creva le ventre du vieillard en pleine figure.
Pendant ce temps un éléphant gazouillait sur les branches fleuries d’un poteau télégraphique.
Quant à moi, je montais quatre à quatre les trois marches qui menaient à la cave pour descendre au grenier. Je regardais par le trou de la serrure qui était bouchée et je vis un nègre blanc : à la recherche de chair fraîche de 15 ans ; qui déterrait les morts pour les manger vivants ! Puis je regagnais mon lit en plein milieu de la cuisine en attendant que cette nuit étrange laisse place à un nouveau jour.
L'auteur est inconnu (certains l'attribut à Robert Desnos) et existe une myriade de variantes.
Un mort vivant assis sur une pierre en bois lisait son journal pliait en quatre dans sa poche a la lumiere d'un reverbere eteind, il monta a la cave et descendit au grenier et regarda par le trou de la serrure bouchee et vit quatre negres blanc deterrer un mort vivant. Il prit son sabre en fil de fer et leur coupa la tete au ras du cul....
voila ce que je me rappelle de mon oncle il'y a plus de trente ans.
voila ce que je me rappelle de mon oncle il'y a plus de trente ans.
brigitte12110
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mardi 24 février 2015
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24 février 2015
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Bousquet jerome
24 févr. 2015 à 14:10
24 févr. 2015 à 14:10
Interessée par la version de l'histoire de votre grand père dans le carnet de guerre . J'ai oublié celle que me racontait mon grand oncle.... "un jour alors qu'il faisait nui..t"Merci
juju64210
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brigitte12110
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mardi 24 février 2015
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24 février 2015
29 mai 2022 à 22:08
29 mai 2022 à 22:08
moi aussi je recherche cette oeuvre .Mon papa né en 1902 nous la contait souvent en famille.
scarabee09
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samedi 9 mai 2015
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9 mai 2015
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Bousquet jerome
9 mai 2015 à 15:35
9 mai 2015 à 15:35
Bonjour,
Je suis à la recherche de cette contine que j'avais entendue alors que je vivais dans le Dauphiné, il y a quelques années déjà.
Merci de bien vouloir me la faire passer.
Cordialement,
P.P.
Je suis à la recherche de cette contine que j'avais entendue alors que je vivais dans le Dauphiné, il y a quelques années déjà.
Merci de bien vouloir me la faire passer.
Cordialement,
P.P.
Bonjour,
Après pas mal de recherches sur cette histoire que nous racontait mon père maintenant décédé- il avait été résistant dans les maquis corréziens puis dans le Régiment de marche
Corrèze-Limousin ,pendant la 2ème guerre mondiale- je vous serai reconnaissant de bien vouloir me renseigner sur cette histoire. Je suppose que son origine remonte à la guerre de 14/18 et je souhaiterai ,en mémoire de mon père , l'avoir en totalité. Merci d'avance.
Après pas mal de recherches sur cette histoire que nous racontait mon père maintenant décédé- il avait été résistant dans les maquis corréziens puis dans le Régiment de marche
Corrèze-Limousin ,pendant la 2ème guerre mondiale- je vous serai reconnaissant de bien vouloir me renseigner sur cette histoire. Je suppose que son origine remonte à la guerre de 14/18 et je souhaiterai ,en mémoire de mon père , l'avoir en totalité. Merci d'avance.
Un jour c’était le nuit.Un jeune vieux assis debout sur un banc de pierre en bois lisait son journal plié en quatre dans sa poche, à la lueur d’un réverbère éteint, il monte à la cave, descend au grenier, regarde par le trou de la serrure bouché et qu’est-ce qu’il voit ? Un nègre tout blanc qui déterrait les morts pour les manger vivants!!! Voilà ce que ma grand mère polonaise me racontait quand j’étais petite dans les années 60.
Voici la version de mon tonton.
Les Brigants de la CALABRE.
Cétait en 1840, une bande de brigands ravageait la brillante plaine de la Calabre.
Quatorzes brigants assis sur 14 pierres de bois, attendaient 14 passants qui ne devaient pas passer.
L' un d'eux dit à l' autre: "Pédro raconte nous une histoire toi qui sait si bien et qui raconte si mal ".
Pédro se lève, crache, et dit sans parler.
C'était un soir d' hiver pendant l' été, couché debout sur mon lit, je dormais éveillé en lisant à la lueur d' un bec de gaz étein, le journal plié en quatre dans ma poche.
Le tonnerre par son silence et, les éclairs par leurs obscurité marquaient leur présence.
Tout près dans le lointain, un vieillard jeune encore, tête nu couvert d' un grand chapeau, s' avançait en reculent, et dit sans parler.
Enfant! c' est aujoud' hui le plus beau jour de ma vie pour naviguer sur terre et voltiger dans l' eau.
J'écoutais brièvement ces paroles en deumeurant assis, debout sur le sable brûlant d' un océan glacial, quand tout à coup! je vis un énorme éléphant qui voltigeait, en voyageant sur les branches fleuries d' un poteau télégraphique; et d' un grand coup de pieds lancé d' une main sure, je lui je lui ai percé le ventre au milieu de la figure.
Les Brigants de la CALABRE.
Cétait en 1840, une bande de brigands ravageait la brillante plaine de la Calabre.
Quatorzes brigants assis sur 14 pierres de bois, attendaient 14 passants qui ne devaient pas passer.
L' un d'eux dit à l' autre: "Pédro raconte nous une histoire toi qui sait si bien et qui raconte si mal ".
Pédro se lève, crache, et dit sans parler.
C'était un soir d' hiver pendant l' été, couché debout sur mon lit, je dormais éveillé en lisant à la lueur d' un bec de gaz étein, le journal plié en quatre dans ma poche.
Le tonnerre par son silence et, les éclairs par leurs obscurité marquaient leur présence.
Tout près dans le lointain, un vieillard jeune encore, tête nu couvert d' un grand chapeau, s' avançait en reculent, et dit sans parler.
Enfant! c' est aujoud' hui le plus beau jour de ma vie pour naviguer sur terre et voltiger dans l' eau.
J'écoutais brièvement ces paroles en deumeurant assis, debout sur le sable brûlant d' un océan glacial, quand tout à coup! je vis un énorme éléphant qui voltigeait, en voyageant sur les branches fleuries d' un poteau télégraphique; et d' un grand coup de pieds lancé d' une main sure, je lui je lui ai percé le ventre au milieu de la figure.
Une version prise dans un journal des années 50 : Un jour c'était une nuit, un jeune vieillard assis debout sur un rocher de bois contemplait les yeux fermés les rayons du soleil couché. À la lueur de son cigare éteint il lisait son journal non imprimé quand soudain il vit s'en aller à lui un cadavre vivant criant à douce voix j'aime mieux mourir que de rendre le dernier soupir.
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Mary-Lou
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Modifié par Mary-Lou le 18/11/2011 à 01:57
Modifié par Mary-Lou le 18/11/2011 à 01:57
La version de mon arrière grand'mère, donc la plus ancienne, l'originelle :
Un jour - où il faisait nuit - un jeune vieillard, assis debout sur une planche de pierre, à la lueur d'une chandelle éteinte, lisait son journal fermé.
Il dit, en se taisant : "j'aime mieux mourir que de perdre la vie" !
Un jour - où il faisait nuit - un jeune vieillard, assis debout sur une planche de pierre, à la lueur d'une chandelle éteinte, lisait son journal fermé.
Il dit, en se taisant : "j'aime mieux mourir que de perdre la vie" !
Un jour, c'était la nuit. J'étais couché debout dans mon lit lisant mon journal plié en 4 dans ma poche à la lueur de mon bec de gaz éteint. Tout à coup j'entendis du bruit à la cave ; naturellement je descendis au grenier et je vis par le trou de la serrure qui était bouché un nègre blanc qui déterrait les morts pour les manger vivants !
albetineperdue
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12 septembre 2019
12 sept. 2019 à 12:08
12 sept. 2019 à 12:08
comment peut on mourir sans perdre la vie
un jeune homme âgée de 90 ans assis sur un banc de bois en pierre lisait son journal pliait en quatre dans sa poche a la lumière d'une lampe éteins, il monta a la cave et descendit au grenier et vit un trio de quatre nègres blanc déterrer un mort pour le manger vivant
"un jeune homme agée de 90 ans" : imaginons dans le futur que on puisse vivre jusqu'à longtemps grâce au progrès,
"un banc de bois en pierre": du bois qui c'est fossilisé
"lisait son journal pliait en quatre dans sa poche" : c'est un mini-journal, et il a une poche transparente
" a la lumière d'une lampe éteins,": c'est un lampe phosphorescence, donc après que elle est éteins, elle continue de diffuser la lumière
"il monta a la cave et descendit au grenier" : si c'est la Maison Winchester, tout s'explique
" vit un trio de quatre ": il y a 3 personnes, sur la 3e personne, c'est un siamois, qui à deux tête mais un seul corps, que une seul des deux têtes commande
"nègres blanc": des albinos, ou des nègres qui se sont fait blanchis
"un mort pour le manger vivant": des zombi!!!!
"un jeune homme agée de 90 ans" : imaginons dans le futur que on puisse vivre jusqu'à longtemps grâce au progrès,
"un banc de bois en pierre": du bois qui c'est fossilisé
"lisait son journal pliait en quatre dans sa poche" : c'est un mini-journal, et il a une poche transparente
" a la lumière d'une lampe éteins,": c'est un lampe phosphorescence, donc après que elle est éteins, elle continue de diffuser la lumière
"il monta a la cave et descendit au grenier" : si c'est la Maison Winchester, tout s'explique
" vit un trio de quatre ": il y a 3 personnes, sur la 3e personne, c'est un siamois, qui à deux tête mais un seul corps, que une seul des deux têtes commande
"nègres blanc": des albinos, ou des nègres qui se sont fait blanchis
"un mort pour le manger vivant": des zombi!!!!
La version de mon grand-père (décédé en 1965)
C'était en 1893, 13 brigands en faillirent perdre la tête
Le plus jeune dit au plus vieux; racontes nous une histoire
Le vieux bourra sa pipe et s'exprima en ces termes:
Un jour, c'était la nuit
La lune brillait par son absence
Le tonnerre grondait en silence
Un jeune homme de 90 ans
Assis sur une pierre en bois
Lisait son journal censuré plié en 4 dans sa poche
A la lumière d'un réverbère éteint
C'était en 1893, 13 brigands en faillirent perdre la tête
Le plus jeune dit au plus vieux; racontes nous une histoire
Le vieux bourra sa pipe et s'exprima en ces termes:
Un jour, c'était la nuit
La lune brillait par son absence
Le tonnerre grondait en silence
Un jeune homme de 90 ans
Assis sur une pierre en bois
Lisait son journal censuré plié en 4 dans sa poche
A la lumière d'un réverbère éteint
Un jeune homme de 90 ans lisait un livre fermé
à la lueur d'une lampe éteinte.
Soudain il entendit un bruit alors qu'il était sourd.
Il descendit au grenier et ne vit rien
Il monta à la cave et vit un grand nègre blanc
qui était en train de déterrer les morts pour les manger vivant.
Qu'es ce que je gagne ?
Voilà la version de mon grand-père
C’était en quatorze cent quatorze,
14 brigands assis sur 14 rochers,
Attendaient 14 passants qui ne devaient jamais passés.
Le chef des brigands dit alors :
Pedro raconte nous cette histoire que tu sais si bien mais que tu racontes si mal.
Pedro se leva toussa cracha et dit :
C’était un soir d’été pendant l’hiver,
Je lisais dans un livre fermé à la faible lueur d’une chandelle éteinte
Quand tout à coup, le tonnerre en silence et par ces éclairs annonçait sa présence.
J’aperçus quelque chose que je ne voyais pas mais que je distinguais parfaitement bien.
C’était un jeune vieillard, cheveux blancs tout noir.
Tête nue coiffée d’un grand chapeau qui s’avançait vers moi en reculant et me dit en se taisant :
Cette nuit passera le plus beau jour du monde.
Après vingt ans de gloire et de travaux forcés, je revins en France bien portant avec les reins cassés.
Traversant le monde blanc à la nage, j’aperçus un joli petit éléphant rose qui voltigeait de branches en branches
Sur les cimes fleuries des poteaux télégraphiques.
C’était en quatorze cent quatorze,
14 brigands assis sur 14 rochers,
Attendaient 14 passants qui ne devaient jamais passés.
Le chef des brigands dit alors :
Pedro raconte nous cette histoire que tu sais si bien mais que tu racontes si mal.
Pedro se leva toussa cracha et dit :
C’était un soir d’été pendant l’hiver,
Je lisais dans un livre fermé à la faible lueur d’une chandelle éteinte
Quand tout à coup, le tonnerre en silence et par ces éclairs annonçait sa présence.
J’aperçus quelque chose que je ne voyais pas mais que je distinguais parfaitement bien.
C’était un jeune vieillard, cheveux blancs tout noir.
Tête nue coiffée d’un grand chapeau qui s’avançait vers moi en reculant et me dit en se taisant :
Cette nuit passera le plus beau jour du monde.
Après vingt ans de gloire et de travaux forcés, je revins en France bien portant avec les reins cassés.
Traversant le monde blanc à la nage, j’aperçus un joli petit éléphant rose qui voltigeait de branches en branches
Sur les cimes fleuries des poteaux télégraphiques.
Nerdanel
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mardi 18 mars 2014
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18 mars 2014 à 12:55
18 mars 2014 à 12:55
Bonjour, c'est passionnant toutes ces versions!
Je livre la mienne, enfin celle de ma grand mère, née en 1903 et qui racontait cette version à ses enfants dès le début des années 30 et à nous à partir des années 70. Il est probable qu'elle l'a appris de son père qui aimait beaucoup raconter des histoires. Sa version est en alexandrins, il faut dire que le papa en question était officier durant la guerre de 14. Je me demande si ce n'est pas une histoire qui a circulé oralement pendant la guerre, et mise à différentes sauces au fur et à mesure. Sauce en vers pour ceux de la haute, donc :
Un jour qu'il faisait nuit, le tonnerre en silence
Par de sombre éclairs annonçait son absence
Les oiseaux effrayés dormaient paisiblement
Un jeun(e) vieillard, assis sur une pierre en bois
Mangeait son bouillon froid qui lui brûlait la langue
OU (alternative au dernier vers plus proche des autres versions, mais pas en alexandrins, toujours d'après ma grand mère)
Lisait son journal plié en quatre dans sa poche.
Je livre la mienne, enfin celle de ma grand mère, née en 1903 et qui racontait cette version à ses enfants dès le début des années 30 et à nous à partir des années 70. Il est probable qu'elle l'a appris de son père qui aimait beaucoup raconter des histoires. Sa version est en alexandrins, il faut dire que le papa en question était officier durant la guerre de 14. Je me demande si ce n'est pas une histoire qui a circulé oralement pendant la guerre, et mise à différentes sauces au fur et à mesure. Sauce en vers pour ceux de la haute, donc :
Un jour qu'il faisait nuit, le tonnerre en silence
Par de sombre éclairs annonçait son absence
Les oiseaux effrayés dormaient paisiblement
Un jeun(e) vieillard, assis sur une pierre en bois
Mangeait son bouillon froid qui lui brûlait la langue
OU (alternative au dernier vers plus proche des autres versions, mais pas en alexandrins, toujours d'après ma grand mère)
Lisait son journal plié en quatre dans sa poche.
Un jour qu'il faisait nuit, le tonnerre grondait en silence, quand j'aperçus loin près de moi, un jeune vieillard aux longs cheveux tous courts qui me dit sans me parler : " si tu ne me rends pas ce que tu ne m'as pas pris, je te ferais avaler le contenu de cette bouteille vide. Ayant peur de la peur qui fait peur, je saisis mon épée par le milieu du bout et lui enfonça en plein coeur de la tête...
D'autres indices à l'horizon?...
Voici ma version, tenue de ma grand-mère:
"J'étais assis sur le sable brulant de l'océan glacial arctique,
Je lisais un livre fermé à la lueur d'un bec de gaz éteint,
J'écoutais les éléphants qui gazouillaient sur les fils télégraphiques en fleur.
Tout à coup, j'entends du bruit !
Je monte à la cave,
Je descends au grenier,
Je vois des nègres blancs déterrer des morts pour les manger vivants."
"J'étais assis sur le sable brulant de l'océan glacial arctique,
Je lisais un livre fermé à la lueur d'un bec de gaz éteint,
J'écoutais les éléphants qui gazouillaient sur les fils télégraphiques en fleur.
Tout à coup, j'entends du bruit !
Je monte à la cave,
Je descends au grenier,
Je vois des nègres blancs déterrer des morts pour les manger vivants."
Selon mes souvenirs :
Assis, debout, couché dans mon lit, je regardai à la lueur d'une chandelle éteinte un journal qui n'était pas imprimé et était plié dans ma poche. Soudain, j'entends un énorme bruit silencieux, je monte à la cave et je descends au grenier, je regarde par le trou de la serrure qui était bouché et je vois un nègre blanc qui déterre les morts pour les manger vivants.
Assis, debout, couché dans mon lit, je regardai à la lueur d'une chandelle éteinte un journal qui n'était pas imprimé et était plié dans ma poche. Soudain, j'entends un énorme bruit silencieux, je monte à la cave et je descends au grenier, je regarde par le trou de la serrure qui était bouché et je vois un nègre blanc qui déterre les morts pour les manger vivants.
La mienne: Minuit sonna, un jeune vieillard, assis debout sur une brique en bois, lisait les dernieres pages de son livre fermer a la lueur d'une bougie eteinte. un homme entra, c'etait sa femme, il tira son poignard, donna un coup de pistolet, elle tomba a plat ventre sur le dos. tandis que le chat aboyait, l'homme repartit laissant devant elle, son pauvre mari.
Un jour c'était la nuit, un vieux jeune homme assis debout sur un banc de pierres en bois lisait son journal plié en quatre dans sa poche. Soudain il entendit un bruit sourd. Il alla voir par le trou de la serrure bouchée et vit, à la lueur d'une chandelle éteinte, deux nègres blancs qui déterraient les morts pour les manger vivants.
voici la version que je tiens de ma grand mère, mais je pense aussi qu'il m'en manque des bouts...: "un jour, c'était une nuit. Je lisais mon journal non imprimé à la lueur d'un bec de gaz éteint. J'entendais les éclairs, et je voyais le tonnerre qui grondait en silence. Lorsqu'un jeune vieillard, en reculant s'avance, et dit "prends un siège, sidna, et assied toi par terre, et si tu veux parler, commence par te taire.""
Arf ...
Un jeune vieillard, assis couché sur un banc de pierre en bois, lisait son journal plié en 4 dans sa poche. A la lueur d'un bec de gaz étain il entendis du bruit a la cave et descendit au grenier ou il vit, deux "negres" blancs qui déterraient les morts pour les manger vivants !!!
Et voila ;)
Un jeune vieillard, assis couché sur un banc de pierre en bois, lisait son journal plié en 4 dans sa poche. A la lueur d'un bec de gaz étain il entendis du bruit a la cave et descendit au grenier ou il vit, deux "negres" blancs qui déterraient les morts pour les manger vivants !!!
Et voila ;)
Un jour c'était la nuit, un homme assis debout lisait son journal à l'envers à la lueur d'une chandelle éteinte dans une forêt sans bois où les merles sifflaient sans rien dire. Il entendit du bruit à la cave et descendit au grenier où il vit des nègres blancs qui déterraient les morts pour les manger vivants
Par un beau jour qu'il faisait nuit. Minuit sonne, il est 2 heures du matin . Un jeune vieillard, assis debout coucher sur un banc de pierre de bois de fer, lisait son journal non imprimé, plié en 4 dans sa poche, à la lueur d'une bougie éteinte. Il regarda par la fenêtre sans châssis. Et dans l'ombre de la lumière, aperçu l'orage. Un éclair obscur illumina la pièce, le tonerre grondait en silence. Soudain il entendit du bruit, monte à la cave, descend au grenier et là, de son oeil borgne, par le trou de la serrure bouchée. Il voit 2 "nègres' blancs qui déterraient des morts pour les manger vivants. Alors il sort son épée de fil barbelé et leur coupe la tête au ras les doigts de pieds.
Merci à tous ceux, et qui ont réveillé notre enfance.
Un conseil : Ne devenez jamais adultes !
Regardez les dans la rue ou dans le métro: ILS FONT LA GUEULE
Même si vous devez passer pour l'idiot du village, SOURIEZ !
ILS sont les idiots, VOUS êtes le plus intelligent, vous avez compris que chaque seconde où tout ne va pas si mal (ça arrive ! ) VOUS EXISTEZ VRAIMENT !
Les autres DORMENT !
Un conseil : Ne devenez jamais adultes !
Regardez les dans la rue ou dans le métro: ILS FONT LA GUEULE
Même si vous devez passer pour l'idiot du village, SOURIEZ !
ILS sont les idiots, VOUS êtes le plus intelligent, vous avez compris que chaque seconde où tout ne va pas si mal (ça arrive ! ) VOUS EXISTEZ VRAIMENT !
Les autres DORMENT !
Surtout dans les grandes villes ,les passants dorment en marchant.
Demandez a l'un deux de décrire la vitrine qu'il vient de dépasser, il en est incapable.
La foule est un troupeau de moutons abruti par elle même.
On dit que les hommes sont comme les pommes de terre, quand on les entasse, ils pourrissent.
" Vivez si, m'en croyez, n'attendez à demain " ..mais vivez à la campagne, si possible.
Demandez a l'un deux de décrire la vitrine qu'il vient de dépasser, il en est incapable.
La foule est un troupeau de moutons abruti par elle même.
On dit que les hommes sont comme les pommes de terre, quand on les entasse, ils pourrissent.
" Vivez si, m'en croyez, n'attendez à demain " ..mais vivez à la campagne, si possible.
Voici la version que l'on m'a racontée enfant...
"Un jour, c'était la nuit. Assise sur un banc de bois en pierre, je lisais dans un livre fermé à la lueur d'un réverbère éteint. Quand, tout à coup, je n' entendis rien! Je montai à la cave , descendis au grenier et là, je vis deux noirs tout blanc qui déterraient les morts pour les manger vivant!!!" Fin de citation.
"Un jour, c'était la nuit. Assise sur un banc de bois en pierre, je lisais dans un livre fermé à la lueur d'un réverbère éteint. Quand, tout à coup, je n' entendis rien! Je montai à la cave , descendis au grenier et là, je vis deux noirs tout blanc qui déterraient les morts pour les manger vivant!!!" Fin de citation.
un jour, mais peut-être une nuit, assis tout debout dans mon grand petit lit, je lisais un livre, qui n'était pas écris, a la lueur d'une chandelle éteinte; ensuite il y a l'histoire d'un hippopotame qui monte le long d'un poteau télégraphique sans fil
si c'est cette histoire, cela vient de la guyane
si c'est cette histoire, cela vient de la guyane
Moi, mon Papy me racontait cette version : C'était en 1870, un jeune vieillard, assis, debout, couché dans son lit, qui lisait son journal plié en 4 dans sa poche à la lueur d' une chandelle éteinte. Le tonnerre grondait en silence, et l'on voyait sur les poteaux télégraphiques en fleurs, un éléphant rose qui voltigeait de branche en branche.
un jour, mais peut-être une nuit, ou je m'etais assis tout debout dans mon grand petit lit, je lisais un livre, qui n'était pas écrit, a la lueur d'une chandelle éteinte. Tout à coup, je n' entendis rien! Je montais à la cave , descendis au grenier et là, je vis un negre tout blanc qui déterraient les morts pour les manger vivant. Il me dit; souviens toi et ne rappelle jamais, que dans la foret du manche a balet, un hippopotame gazouille entre les branches touffues d'un poteau electrique.
< version famille Dubigeon, 1980 >
< version famille Dubigeon, 1980 >
Un jour, c'était la nuit. Mon grand père était assis debout sur un banc de pierre en bois. Il lisait un journal plié en quatre dans sa poche. Soudain, il entendit un bruit sourd, il monta à la cave et regarda par le trou de la serrure bouché par une clé. Il vit un nègre blanc manger vivant des cadavres !
Je corrobore plusieurs des citations. ce sont des alexandrins, il y a aussi les passages suivants :
je vis un nègre blanc qui déterrait les morts pour les manger vivants...
c'était un soir d'hiver en plein été...
... dans un livre fermé
à la faible lueur d'une chandelle éteinte...
il tenait par la queue la patte de son chien...
ce sera cette nuit le plus le plus beau jour du monde.
denis
je vis un nègre blanc qui déterrait les morts pour les manger vivants...
c'était un soir d'hiver en plein été...
... dans un livre fermé
à la faible lueur d'une chandelle éteinte...
il tenait par la queue la patte de son chien...
ce sera cette nuit le plus le plus beau jour du monde.
denis
C'était un soir d'été, la veille de Noël
Assis sur le sable chaud de l'océan glacial,
Je me promenais tout nu, les mains dans mes poches,
En lisant mon journal plié en quatre dans ma poche,
A la lueur d'une bougie éteinte.
Lorsque j'aperçus, dans le feuillage touffu
d'un poteau télégraphique,
un éléphant qui gazouillait.
D'un coup de pied lancé d'une main sure,
Je lui crevais le ventre en pleine figure.
Assis sur le sable chaud de l'océan glacial,
Je me promenais tout nu, les mains dans mes poches,
En lisant mon journal plié en quatre dans ma poche,
A la lueur d'une bougie éteinte.
Lorsque j'aperçus, dans le feuillage touffu
d'un poteau télégraphique,
un éléphant qui gazouillait.
D'un coup de pied lancé d'une main sure,
Je lui crevais le ventre en pleine figure.
Que de versions! Ca tourne autour des memes choses, mais ca s'arrete a la! Version tenue de mon grand pere...
Un jour, il faisait nuit. L'orage eclatait en silence. Et par deux sombres eclairs il annonca sa presence. J'etais assis debout, en train de lire un journal non imprime, plie en quatre dans ma poche a la lueur d'une bougie eteinte. Lorsqu'un jeune viellard s'approcha de moi et me dit sans parler: "Il fut un temps mon pote! Ou votre antichambre, serait pleine de pots de chambres! En attendant mon vieux: faites donc par la fenetre! Ce temps la reviendra!"
Je descendis au grenier. Et je vis par le trou de la serrure bouchee un negre blanc entrain de deterrer des morts afin de les manger vivants...
Un jour, il faisait nuit. L'orage eclatait en silence. Et par deux sombres eclairs il annonca sa presence. J'etais assis debout, en train de lire un journal non imprime, plie en quatre dans ma poche a la lueur d'une bougie eteinte. Lorsqu'un jeune viellard s'approcha de moi et me dit sans parler: "Il fut un temps mon pote! Ou votre antichambre, serait pleine de pots de chambres! En attendant mon vieux: faites donc par la fenetre! Ce temps la reviendra!"
Je descendis au grenier. Et je vis par le trou de la serrure bouchee un negre blanc entrain de deterrer des morts afin de les manger vivants...
bobylaDA
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mardi 10 décembre 2013
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10 décembre 2013
10 déc. 2013 à 15:52
10 déc. 2013 à 15:52
J'ai toujours appris une autre version
un jour c'était la nuit
j'étais assis debout dans mon lit
je lisais une page de journal non écrite
a la lueur d'une bougie éteinte
quand tout a coup je vis venir vers moi
un jeune vieillard tout nu habillé de blanc qui me dit
"si tu ne me rends pas ce que tu ne m'a pas pris
je te fais avaler le contenu d'une bouteille vide"
j'eu peur d'avoir peur et saisissant le couteau par le manche du bout
je lui enfonçai dans la tête en plein coeur.
un jour c'était la nuit
j'étais assis debout dans mon lit
je lisais une page de journal non écrite
a la lueur d'une bougie éteinte
quand tout a coup je vis venir vers moi
un jeune vieillard tout nu habillé de blanc qui me dit
"si tu ne me rends pas ce que tu ne m'a pas pris
je te fais avaler le contenu d'une bouteille vide"
j'eu peur d'avoir peur et saisissant le couteau par le manche du bout
je lui enfonçai dans la tête en plein coeur.
Un jour qu'il faisait nuit,
Un jeune vieillard assis debout,
Sur une pierre en bois,
Dans un coin au milieu de la chambre,
Lisait dans un livre fermé,
A la lueur d'une chandelle éteinte.
Cet homme, c'était ma tante Zénobie.
Il y a toute une suite mais que je ne connais pas.
C'est mon grand-père qui m'avait appris ça.
Un jeune vieillard assis debout,
Sur une pierre en bois,
Dans un coin au milieu de la chambre,
Lisait dans un livre fermé,
A la lueur d'une chandelle éteinte.
Cet homme, c'était ma tante Zénobie.
Il y a toute une suite mais que je ne connais pas.
C'est mon grand-père qui m'avait appris ça.
Comme le dit Foxi, il semble qu'il y ait de nombreuses versions de ce poème étrange.
Pour ma part je me souviens parfaitement de la version que nous racontais mon grand père, né en 1879, en Champagne.
Un jour que c'était la nuit,
Que le canon grondait sans bruit,
Un jeune vieillard aveugle,
Assis debout sur une pierre de bois,
Regardait un jeune lapin voleter
Dans les branches fleuris
D'un poteau télégraphique.
A la lueur d'un réverbéré éteint,
il lut un journal non écrit,
... .
Je ne me souviens de l'ordre exact de la suite.
Je suis venu sur ce forum, pour retrouver la suite de ce magnifique poème.
Si quelqu'un à des souvenir plus précis, peut-être que de brides en brides de souvenirs il serait possible de reconstituer ce texte.
Pour ma part je me souviens parfaitement de la version que nous racontais mon grand père, né en 1879, en Champagne.
Un jour que c'était la nuit,
Que le canon grondait sans bruit,
Un jeune vieillard aveugle,
Assis debout sur une pierre de bois,
Regardait un jeune lapin voleter
Dans les branches fleuris
D'un poteau télégraphique.
A la lueur d'un réverbéré éteint,
il lut un journal non écrit,
... .
Je ne me souviens de l'ordre exact de la suite.
Je suis venu sur ce forum, pour retrouver la suite de ce magnifique poème.
Si quelqu'un à des souvenir plus précis, peut-être que de brides en brides de souvenirs il serait possible de reconstituer ce texte.
oinouine
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dimanche 29 juin 2014
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29 juin 2014
29 juin 2014 à 16:29
29 juin 2014 à 16:29
Ils étaient 14 bandits qui attendaient 14 passants qui ne passaient pas, joujou cailloux de fer, la porte ouverte s'ouvrit, et je vie devant moi un vieillard encore jeune qui sortait d'un poteau télégraphique en fleurs, je monte à la cave pour voire 3 éléphants qui se balançais sur une Toile d'araignée, J'étais assis debout couché sur un lit de pierre en bois et je lisais mon journal plié en quatre dans ma poche à la lueur d'une bougie éteinte J'entendis du bruit dans le grenier, et je vie 3 nègres blancs qui déterraient les morts pour les manger vivant je ne perdis pas mon sang froid, et lui creva le ventre en pleine figure la fontaine dit Mimile.
J'ai appris cette fable dans la cour d'école j'avais 12 ans j'en ai 64ans.
J'ai appris cette fable dans la cour d'école j'avais 12 ans j'en ai 64ans.
un jour c'était la nuit
un jeune vieillard assis debout
dans un canot pas de fond
lisait son journal non imprimé à la lueur
d'une chandelle éteinte,
lorsque tout à coup, il vit deux chats morts se battre
2 polices pas jambes enfoncèrent une porte ouverte
mais il était trop tard, les deux chat morts étaient parti
J'ai demandé à mon père d'écrire les poèmes morbides dont j'aimais tant..
il avait 75 ans et j'ai bien fait car aujourd'hui il est malade il à 80 ans
et je relis ces poèmes et ses jokes classiques et je ris de bon coeur!
de sa fille unique, la prunelle de ses yeux
un jeune vieillard assis debout
dans un canot pas de fond
lisait son journal non imprimé à la lueur
d'une chandelle éteinte,
lorsque tout à coup, il vit deux chats morts se battre
2 polices pas jambes enfoncèrent une porte ouverte
mais il était trop tard, les deux chat morts étaient parti
J'ai demandé à mon père d'écrire les poèmes morbides dont j'aimais tant..
il avait 75 ans et j'ai bien fait car aujourd'hui il est malade il à 80 ans
et je relis ces poèmes et ses jokes classiques et je ris de bon coeur!
de sa fille unique, la prunelle de ses yeux
Dans la mienne, y avait un "rhinocéros blanc voltigeant de fleur en fleur"; "regardai par la fenêtre dont les volets étaient fermés"; "à la lueur d'une bougie éteinte"; "descendit au grenier, monta à la cave"; ... Ce ne sont que des bribes, ça m'énerve de ne plus retrouver le fil de cette série d'oxymores! :-)
moi j'avais celle la. Mon grand père me la racontait quand j'étais petit:
Un jour qui faisait nuit,
Le tonnerre tonnait en silence
j'étais assis debout sur mon lit parterre
Et je lisais mon journal, plié en quatre dans ma poche
A la lumière d'un bec de gaz éteint.
J'entendis un bruit en au grenier
Je montai à la cave
Et je vis un nègre blanc
Qui déterrait les morts pour les manger vivant
Un jour qui faisait nuit,
Le tonnerre tonnait en silence
j'étais assis debout sur mon lit parterre
Et je lisais mon journal, plié en quatre dans ma poche
A la lumière d'un bec de gaz éteint.
J'entendis un bruit en au grenier
Je montai à la cave
Et je vis un nègre blanc
Qui déterrait les morts pour les manger vivant
Un jour, c'était la nuit.
Un homme assis debout sur un banc de pierre en bois
Lisait son journal plié en quatre dans sa poche
A la lueur d'un réverbère éteint.
Tout à coup, il entend un bruit (silencieux) au grenier
Il monte à la cave,
Et découvre un nègre tout blanc
En train de déterrer les morts
Pour les manger touts vivants.
Un homme assis debout sur un banc de pierre en bois
Lisait son journal plié en quatre dans sa poche
A la lueur d'un réverbère éteint.
Tout à coup, il entend un bruit (silencieux) au grenier
Il monte à la cave,
Et découvre un nègre tout blanc
En train de déterrer les morts
Pour les manger touts vivants.
Mon père me l'a raconté comme cela:
J'étais debout couché à plat ventre sur le dos au quatrième étage de ma petite maison basse et je lisais mon journal plié en quatre dans ma poche de derrière à la lieure d'une bougie éteinte quand j'entendis au feu au feu les pompiers arrivés avec leurs pompes remplies de gazoline pour éteindre un feu qui n'était même pas encore allumé
J'étais debout couché à plat ventre sur le dos au quatrième étage de ma petite maison basse et je lisais mon journal plié en quatre dans ma poche de derrière à la lieure d'une bougie éteinte quand j'entendis au feu au feu les pompiers arrivés avec leurs pompes remplies de gazoline pour éteindre un feu qui n'était même pas encore allumé
c'etait en l'an 1840 dans les riantes plaines de la calabre
14 brigands assis sur 14 rochers attendaient 14 passants qui ne devaient pas passer
le chef des brigands: allons Pedro racontes nous une de tes histoires que tu sais si bien narrer.
Pedro se leva se moucha cracha et dit:c'etait un soir d'hiver en plein été,je dormais éveillée couché droit sur mon lit,le tonnerre par son silence et les eclairs par leur obscurité menacait leur presence.
a la lumiere d'un bec de gaz eteint,un viellard ,tout jeune encore,téte nue coifféed'un grand chapeau,s'avançait en reculant et me dit en se taisant :Enfant c'est un grand jour sur terre pour naviguer en l'air et voltiger dans l'eau,j'ecoutais gravement ces paroles et du sable brulant de l'ocean glacial je sors mon epée et d'un coup de revolver je tue un enorme elephant qui voltigeait en gazouillant dans les branche touffues d'un poteau telegraphique.
d'un coup de pied et d'une main sure je lui perce le ventre au milieu de la figure
ma petite version a moi date:1970
14 brigands assis sur 14 rochers attendaient 14 passants qui ne devaient pas passer
le chef des brigands: allons Pedro racontes nous une de tes histoires que tu sais si bien narrer.
Pedro se leva se moucha cracha et dit:c'etait un soir d'hiver en plein été,je dormais éveillée couché droit sur mon lit,le tonnerre par son silence et les eclairs par leur obscurité menacait leur presence.
a la lumiere d'un bec de gaz eteint,un viellard ,tout jeune encore,téte nue coifféed'un grand chapeau,s'avançait en reculant et me dit en se taisant :Enfant c'est un grand jour sur terre pour naviguer en l'air et voltiger dans l'eau,j'ecoutais gravement ces paroles et du sable brulant de l'ocean glacial je sors mon epée et d'un coup de revolver je tue un enorme elephant qui voltigeait en gazouillant dans les branche touffues d'un poteau telegraphique.
d'un coup de pied et d'une main sure je lui perce le ventre au milieu de la figure
ma petite version a moi date:1970
C'était un jour, la nuit. Le tonnerre , en silence,
par des éclairs obscurs, signalait sa présence.
J'étais droit debout assis couché dans mon lit
lorsqu'un jeune vieillard sans me parler me dit:
"Il fera aujourd'hui le plus beau jour du monde.
Les hannetons furieux nageront sous les ondes
et les poissons iront, de sapin en sapin,
pour respirer le soir la fraicheur du matin."
Victor Hugo.
par des éclairs obscurs, signalait sa présence.
J'étais droit debout assis couché dans mon lit
lorsqu'un jeune vieillard sans me parler me dit:
"Il fera aujourd'hui le plus beau jour du monde.
Les hannetons furieux nageront sous les ondes
et les poissons iront, de sapin en sapin,
pour respirer le soir la fraicheur du matin."
Victor Hugo.
Un jour qu'il faisait nuit j'étais assis debout sur une pierre en bois je lisais un journal non imprimé à la lueur d'un bec de gaz éteint un homme chauve et vêtu d'un grand chapeau sur sa chevelure dense s'approche près de moi tout en s'éloignant et me dit sans parler tout en ouvrant la bouche cette nuit les bateaux volerons dans les airs et les avions naviguerons sur les flots à ce moment la je me senti transporter sur le sable brûlant de l'océan glacial quand soudain je vois un petit éléphant se balançant sur un poteau télégraphique et d'une main sur je lui caressa le ventre au milieu de la figure Victor Hugo
cocobenno
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7 mars 2016
7 mars 2016 à 10:40
7 mars 2016 à 10:40
Ma mère nous recitait souvent cette version qui nous faisait beaucoup rire:
Un matin, au coucher du soleil, un jeune vieillard assis debout sur un banc de pierre en bois lisait son jounal, plié en quatre dans sa poche, à la lueur d'un lampadaire éteint.
Soudain, il entendit un bruit silencieux. Il monta les escaliers de la cave pour descendre au grenier et vit, par le trou de la serrure bouché, un neigre blanc qui déterrait les morts pour les manger vivants, et sa femme qui pleurait en riant la mort de ses quatre fils, morts noyés dans une piscine à sec, le premier Jean, le deuxième Paul, le troisième Pierre et le quatrième André qui n'était pas encore né.
Un matin, au coucher du soleil, un jeune vieillard assis debout sur un banc de pierre en bois lisait son jounal, plié en quatre dans sa poche, à la lueur d'un lampadaire éteint.
Soudain, il entendit un bruit silencieux. Il monta les escaliers de la cave pour descendre au grenier et vit, par le trou de la serrure bouché, un neigre blanc qui déterrait les morts pour les manger vivants, et sa femme qui pleurait en riant la mort de ses quatre fils, morts noyés dans une piscine à sec, le premier Jean, le deuxième Paul, le troisième Pierre et le quatrième André qui n'était pas encore né.
Hanzo
>
cocobenno
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13 sept. 2016 à 22:43
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Oui c est ça c est la bonne version
magmagalette
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29 janv. 2017 à 10:39
29 janv. 2017 à 10:39
bonjour,
voici ce dont je me rappelle de la version que me récitait mon GrandPère (mais il en manque une partie, assurément, parce qu'en lisant les autres versions le souvenir de la bougie me revient).
Un jours qu'il faisait nuit
je dormais éveillé debout couché sur mon lit
lorsqu'un jeune vieillard sans me parler me dit
"il fera cette nuit le plus beau jour du monde,
on nagera sur terre, on marchera sur l'onde"
Je ne lui parlais pas, il ne me disait rien,
c'est ainsi que finit ce paisible entretien.
voici ce dont je me rappelle de la version que me récitait mon GrandPère (mais il en manque une partie, assurément, parce qu'en lisant les autres versions le souvenir de la bougie me revient).
Un jours qu'il faisait nuit
je dormais éveillé debout couché sur mon lit
lorsqu'un jeune vieillard sans me parler me dit
"il fera cette nuit le plus beau jour du monde,
on nagera sur terre, on marchera sur l'onde"
Je ne lui parlais pas, il ne me disait rien,
c'est ainsi que finit ce paisible entretien.
c'est de la poésie de Mr A.psurde !!!
un petit site sympa:
http://zwook.ecolevs.ch/martigny/zwook/enfants/ecritsetfantaisies/monsieura.psurde
C'est très drôle de lire ces différentes versions.
Voici celle que mon grand-père me contait:
"C'était un jour pendant la nuit, un jeune vieillard, assis debout dans la neige brûlante, contemplait les yeux fermés, le beau levé du soleil qui se couchait. Quel beau spectacle s'écriait-il en ne disant rien. (...) La reine d'Angleterre livrait bataille aux pays germains. Les bateaux étaient si grands que ceux de l'avant se battaient depuis dix ans et ceux de l'arrière n'en savaient encore rien! (...)"
Malheureusement, ma mémoire me joue des tours et il y manque quelques réparties.
Voici celle que mon grand-père me contait:
"C'était un jour pendant la nuit, un jeune vieillard, assis debout dans la neige brûlante, contemplait les yeux fermés, le beau levé du soleil qui se couchait. Quel beau spectacle s'écriait-il en ne disant rien. (...) La reine d'Angleterre livrait bataille aux pays germains. Les bateaux étaient si grands que ceux de l'avant se battaient depuis dix ans et ceux de l'arrière n'en savaient encore rien! (...)"
Malheureusement, ma mémoire me joue des tours et il y manque quelques réparties.
Un jour, c'était une nuit, un homme assis debout allongé sur un banc lisait un livre fermé à la lueur d'un bec de gaz éteint. Soudain, il entendit frappé au grenier, il monta à la cave, et là, il vit un nègre blanc, qui déterrait les morts, pour les manger vivant !
Un jour qu'il faisait nuit
J'étais debout assis sur le bord au milieu de mon lit.
Je lisais un livre qui n'était pas encore écrit
A la lumière d'une chandelle éteinte.
Dehors l'orage grondait en silence
Les éclairs sans lueur illuminaient le ciel noir
Les lettres invisibles dansaient à perdre haleine une danse immobile
J'étais assis debout couché
Sur un lit de pierre en bois
Et je lisais mon journal plié en quatre dans ma poche
A la lueur d'une bougie éteinte
J'entendis du bruit dans le grenier
(il me manque une phrase)
Je regardais par le trou de la serrure qui était bouchée
Et je vis un nègre blanc qui déterrait les morts pour les manger vivant
( il me manque la fin aussi)
c'est ma version enfin celle sur mon père m'a apprise
Un jour c'était la nuit. J'étais assis sur une pierre de bois, et je lisais mon journal plié en quatre dans ma poche à la lueur d'une chandelle éteinte. Dehors le tonnerre grondait en silence. Je croyais apercevoir l'ombre d'un éclair au travers des volets fermés à clé, quand soudain un doute se mit à planer... Curieux de ne pas vouloir lever ce doute qui planait à terre, je me saisissais d'un verre plein pour le boire vide à l'aide d'une paille pleine qui n'aspirait aucun liquide. Une sécheresse humide s'emparait de moi, me laissant la liberté de penser à cette pluie battante, dont les fines gouttes venaient assécher un sol de tapis où se trouvait mon doute volant. Soudain, lors d'une acalmie plutôt agitée, un ange passait... Mon doute s'est alors levé, s'abaissant tout doucement dans les airs et heurtant l'ange qui passait. L'ange choit sans laisser l'ombre d'un doute ! Dès lors, l'agitation est redevenue calme, les tapis de sol volants se sont mouillés sous les gouttes battantes de la pluie fine me laissant penser que la liberté s'emparait de moi comme l'humidité séchante au soleil. J'ai donc aspiré le liquide de mon verre plein à l'aide de la paille vide, pour enterrer ce doute qui plannait au dessus de mon verre vide. Lorsque j'ai ouvert mes volets pour apercevoir le lueur de l'éclair, j'ai alors entendu le tonnerre qui grondait à travers le silence de la nuit et vu l'ombre de la chandelle éteinte. J'ai alors plié en quatre le journal que je lisais pour le ranger dans ma poche, et je me suis assis sur un banc de pierre en attendant que cette nuit étrange laisse la place à un nouveau jour...
Un jour c'était la nuit
J'étais debout assis dans mon lit
Et je lisais un livre fermé
A la lueur d'une lampe éteinte
Lorsque je vis sans ne rien voir
Un jeune vieillard
Qui avançait en reculant
Et qui me dit en se taisant
Honnête voleur
Rends moi ce que tu ne m'as pas pris
Ou je t'arrache les cheveux
De ta tête chauve
J'étais debout assis dans mon lit
Et je lisais un livre fermé
A la lueur d'une lampe éteinte
Lorsque je vis sans ne rien voir
Un jeune vieillard
Qui avançait en reculant
Et qui me dit en se taisant
Honnête voleur
Rends moi ce que tu ne m'as pas pris
Ou je t'arrache les cheveux
De ta tête chauve
1 avril 2020 à 19:23
Un jour qu'il faisait nuit, j'étais assis debout dans mon lit, je lisais mon journal pas encore imprimé à la lueur d'une bougie éteinte suspendue par un fil cassé, j'entendis "Boum" au grenier, je descendis à la cave et vis par le trou de la serrure bouchée, des nègres blancs qui dévoraient des morts vivants . Martial de Morlaix
1 sept. 2021 à 13:20
un vieillard nouveau né,
assis debout sur une pierre en bois,
lisait un livre fermé
à la lueur d'une bougie éteinte.
Il entendit un grand bruit silencieux,
il monta l'escalier pour descendre à la cave
et vit un nain géant
déterrer les morts
pour les manger vivants .
J'avais lu cela dans un livre parlant des facéties, au Moyen-Age, lors du nouvel an placé le 1 avril. Ce type de texte porte un nom. Je n'arrive pas à le retrouver.