Quel est le titre du livre écrit par une infirmière psy ?
fred1957
-
Modifié par Crashounette le 25/07/2011 à 19:49
Natachadu35 Messages postés 2 Date d'inscription jeudi 12 mai 2011 Statut Membre Dernière intervention 15 février 2012 - 15 févr. 2012 à 17:45
Natachadu35 Messages postés 2 Date d'inscription jeudi 12 mai 2011 Statut Membre Dernière intervention 15 février 2012 - 15 févr. 2012 à 17:45
A voir également:
- Comment s'écrit pique-nique au pluriel
- Accord pluriel pique-nique - Forum de Discussions générales
- J'ai ecrit ✓ - Forum Edition
- Maitre mot au pluriel ✓ - Forum Comment ça s'écrit
- Orthographe pique-nique au pluriel - Forum Romans de littérature générale
- J'ai écrit "Les yeux vides". Est-ce que quelqu'un l'a lu ? - Forum Ecriture
3 réponses
linter_Crashounette
Messages postés
2698
Date d'inscription
vendredi 24 septembre 2004
Statut
Membre
Dernière intervention
30 avril 2013
65
25 juil. 2011 à 19:50
25 juil. 2011 à 19:50
Ouaw, ca fait très peu d'infos ! pouvez vous nous donner le moindre indice supplémentaire ?
Gillesstf
Messages postés
1529
Date d'inscription
mercredi 26 janvier 2011
Statut
Membre
Dernière intervention
21 février 2012
83
28 juil. 2011 à 09:39
28 juil. 2011 à 09:39
Bonjour fred1957,
toujours pas d'indice supplémentaire ? C'est vrai que c'est difficile de cerner votre souci...
toujours pas d'indice supplémentaire ? C'est vrai que c'est difficile de cerner votre souci...
Natachadu35
Messages postés
2
Date d'inscription
jeudi 12 mai 2011
Statut
Membre
Dernière intervention
15 février 2012
15 févr. 2012 à 17:45
15 févr. 2012 à 17:45
Il pourait s'agir de "folie aller simple" écrit par Gisèle Pineau;
Jeune guadeloupéenne venue étudier les lettres modernes en métropole, Gisèle Pineau s'engage en 1970 comme infirmière en psychiatrie. Un gagne-pain devenu au fil des ans le métier d'une vie. « Voilà trente ans que je suis là, écrit-elle. Ça fait du temps. Les vieux infirmiers disent qu'on n'arrive jamais par hasard à l'hôpital psychiatrique. » Elle ne sait pas ce qui l'a retenue auprès de ceux qui vivent « en bordure de la norme ».
« Peut-être les histoires que j'ai entendues jour après jour, toutes ces vies extraordinaires déroulées devant moi », confie-t-elle. Elles lui ont inspiré des romans, pour adultes et pour enfants. Mais c'est aujourd'hui seulement qu'elle témoigne de ces journées qui ressemblent « à des pochettes-surprises ».
Son récit commence par le suicide d'une patiente, vécu comme un échec par les infirmières. Il leur faut pourtant poursuivre leur travail auprès des malades, garder le sourire, distribuer les médicaments...
« On se cogne à des aspérités. On escalade des strates sans mémoire. On visite des gouffres... » Écouter, soulager, accompagner les familles... La romancière décrit les rituels, les insultes, le manque de places, mais aussi ces moments de grâce qu'elle partage avec Jeanette, Noémie ou Richard.
« On se bat pour l'humanité et ce combat n'est jamais vain (...) il faut du souffle et du coeur. » Gisèle Pineau ouvre la porte d'un monde qui fait peur, pose des questions qui ne trouvent pas toujours de réponses. Mais son regard, porté par une magnifique écriture, délivre un message de sens, empreint de douceur. Un magnifique récit.
Jeune guadeloupéenne venue étudier les lettres modernes en métropole, Gisèle Pineau s'engage en 1970 comme infirmière en psychiatrie. Un gagne-pain devenu au fil des ans le métier d'une vie. « Voilà trente ans que je suis là, écrit-elle. Ça fait du temps. Les vieux infirmiers disent qu'on n'arrive jamais par hasard à l'hôpital psychiatrique. » Elle ne sait pas ce qui l'a retenue auprès de ceux qui vivent « en bordure de la norme ».
« Peut-être les histoires que j'ai entendues jour après jour, toutes ces vies extraordinaires déroulées devant moi », confie-t-elle. Elles lui ont inspiré des romans, pour adultes et pour enfants. Mais c'est aujourd'hui seulement qu'elle témoigne de ces journées qui ressemblent « à des pochettes-surprises ».
Son récit commence par le suicide d'une patiente, vécu comme un échec par les infirmières. Il leur faut pourtant poursuivre leur travail auprès des malades, garder le sourire, distribuer les médicaments...
« On se cogne à des aspérités. On escalade des strates sans mémoire. On visite des gouffres... » Écouter, soulager, accompagner les familles... La romancière décrit les rituels, les insultes, le manque de places, mais aussi ces moments de grâce qu'elle partage avec Jeanette, Noémie ou Richard.
« On se bat pour l'humanité et ce combat n'est jamais vain (...) il faut du souffle et du coeur. » Gisèle Pineau ouvre la porte d'un monde qui fait peur, pose des questions qui ne trouvent pas toujours de réponses. Mais son regard, porté par une magnifique écriture, délivre un message de sens, empreint de douceur. Un magnifique récit.