Ecrire des nouvelles implique une autre architecture qu'un roman et une "ch

Résolu
Utilisateur anonyme - 18 nov. 2010 à 22:38
 Djilali - 16 mars 2011 à 01:00
Ecrire des nouvelles implique une autre architecture qu'un roman et une "chute" en fin de parcours... Personnellement, j'adore et vous ?

16 réponses

Utilisateur anonyme
25 nov. 2010 à 11:43
il fait 2 choses, "l'attaque" est importante, donc les 1eres phrases et la chute biensur!
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Utilisateur anonyme
18 déc. 2010 à 01:35
Je ne suis pas épistolier mais j'adore pouvoir écrire. Je n'ai rédigé que peu de textes que je trouve d'ailleurs pauvres et dénués d'imagination, toutefois ceux qui les lisent, de mon entourage, disent qu'ils sont construits dans un langage concis et suggestif. Je suis étonné par ces éloges que je vois : excessives et flatteuses. J'apprécie les nouvelles parce qu'elles me semblent moins fatigantes à rédiger, notamment pour les fainéants et veules tel que moi. J'ajoute que je n'ai pas quitté mon Sahara depuis vingt sept années à ce jour. Oui, j'aime le style que vous démontrez. Merci de m'avoir lu, Bien à vous
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Utilisateur anonyme
19 déc. 2010 à 15:39
Vous trouvez vos textes pauvres et dénués d'imagination alors que votre entourage apprécie votre langage concis et suggestif !... A la lecture de votre message, j'ai envie de souligner deux points : 1) Un écrivain ne peut être objectif face à ses textes. Seules les paroles et les regards d'autrui sont à même d'apporter des réponses à ses doutes. 2) Continuez d'écrire avec votre plume qui vous apporte tant de bonheur. Laissez parler votre coeur. Les mots donnent naissance à des histoires ou à de pures fictions. Ils sont le reflet de notre propre image et de cet envie de communiquer avec d'autres personnes. C'est la force des mots qui fait le partage. Cela étant, les nouvelles ne sont pas moins fatiguantes à écrire que les romans. Détrompez-vous ! Elles impliquent un style et des techniques qu'il est préférable de connaître avant de commencer. Dès le départ, le décors se doit d'être posé avec les personnages principaux (peu de personnages en règle générale). Ensuite, l'histoire suit son cours pour arriver, vers le final, à une chute. Cette chute doit surprendre le lecteur. Vous voyez, ce n'est pas si simple ! Dans ce groupe, il arrive que des personnes lancent des appels à textes (essais, poésie, nouvelles...). Tentez et testez-vous. Peut-être, un jour, aurais-je le privilège de vous lire ? Bonne journée
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Utilisateur anonyme
26 nov. 2010 à 22:50
Il est vrai qu'écrire des nouvelles ne s'improvise pas. L'"attaque" permet de planter le décors tel un rideau s'ouvrant sur une scène. L'acteur, si ce n'est le principal, sème les premières notes qui donneront naissance à l'histoire. La "chute" se doit d'être une surprise pour le lecteur. C'est ainsi que j'ai vécu la lecture de nouvelles qui m'ont enchantée. C'est ainsi que je m'octroie aussi le plaisir d'en écrire. C'est toujour un réel plaisir pour moi. Merci pour vos réponses à toutes les deux.
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Utilisateur anonyme
3 déc. 2010 à 17:36
C'est à mon avis un genre difficile parce qu'il ne supporte aucune médiocrité. En ce moment je lis les nouvelles de Sylvia Plath (Le jour où Mr Prescott est mort). On y retrouve les années cinquante et c'est très bien écrit
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Utilisateur anonyme
3 déc. 2010 à 22:15
Je ne connais pas Sylvia Plath mais ne manquerai pas de lire son livre. Merci pour votre avis et à une prochaine fois.
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Utilisateur anonyme
27 déc. 2010 à 04:30
Pendant trois jours la connexion Internet était coupée, ce qui explique mon silence; et puis je voulais vous souhaiter un joyeux Noël. Je vous remercie infiniment pour vos réponses judicieuses et qui sont également très encourageantes pour moi. J'en suis impressionné et ravi. Dès ce 1er janvier de la nouvelle année je suis libéré du travail, c'est dire : je pars en retraite; Cette nouvelle situation me donnera le loisir, je pense, de m'intéresser davantage à l'écriture. Pour devancer une éventuelle panne de connexion, je vous adresse dès maintenant mes vœux les plus chaleureux pour une nouvelle année emplie de santé, joies, et, satisfactions sur tous les plans! Pour vous et tous ceux qui vous sont chers! Merci encore chère amie! Ci-joint une photo du lever du soleil à Assekrem (80 km de Tamanrasset)

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Utilisateur anonyme
27 déc. 2010 à 21:04
Bonsoir, A mon tour, je vous transmets tous mes meilleurs voeux à l'approche de cette nouvelle année et un beau changement de vie quant à votre retraite. Qu'elle vous donne le loisir de vous laisser porter par les mots qui donneront naissance à des textes. Je vous remercie pour votre photo. C'est magnifique ! Au plaisir de vous lire. Amicalement.
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Utilisateur anonyme
28 déc. 2010 à 22:46
Salut Corinne! Merci encore pour votre attention et vos échos précieux pour moi. Il y a quelque jours, j'ai voulu essayer quelque chose, mais je n'ai pu rédiger qu'un début d'une histoire imaginaire, toutefois sans avoir pris la précaution d'établir un plan. C'était un caprice passager. En voici le texte : "Le vieillard, les FARC et moi Le grand-père et l'enfant marchent paisiblement sur le grand boulevard; ils discutent gaiement. Je les regarde en pensant à mes années juvéniles, à mes parents défunts, et, à mon pays lointain. Le destin m'avait amené ici en Colombie à Bogota. Mon attention est attiré par le surgissement je ne sais d'où d'un gros chien, il s'approche du vieillard et de l'enfant; mon flair me dit : une bagarre est en l'air. je me précipite vers eux en ne quittant pas des yeux la bête, je suis à quelques mètres du cabot; je mets la main à mon couteau à cran d'arrêt... soudain le chien attaque le vieillard sans aucune cause apparente, l'enfant hurle de frayeur. tout de suite, et avec un courage phénoménal, je me lance sur le fauve et lui assène un grand coup de lame, il rugit de douleur, et se retourne vers moi et m'attaque; il réussit à me mordre à l'épaule, je lance mon couteau une deuxième fois, enfin il s'enfuit en gémissant de douleur. Une foule monstre nous entoure. La police ne perd pas de temps, elle est là. Le vieillard est à terre mais indemne, son enfant dans ses bras. La flicaille, sans ambages, me questionne sur les motifs de mon action; Je réponds : je ne fais que ce qui devrait être fait devant l'agression du fauve sur un passant paisible et âgé. Apprenant mon origine, le policier qui m'interpelle devient tout à coup haineux: - Vous devez être discret car vous n'êtes pas ici en Algérie! Je réplique (balbutant un espagnol haché et incertain) : - Yo no sería "discreto" frente a tal situación, aun a costa de mi vida! ( Je ne serais pas "discret" devant une situation pareille même au prix de ma vie! ) Tôt, le groupe de flics me roue de coups; La foule réagit par des huées répétées et fonce sur ces sbires. Je suis délivré quelques minutes par l'assistance houleuse. L'un des policiers me lance à la figure : - Terrorista argelino! ("un terroriste Algérien!); Aussitôt, un autre flic qui semble être son chef le tance violemment : - Tais-toi et fais tes excuses à monsieur! Je connais l'Algérie de l'Emir Abdelkader et de Larbi Ben M'hidi! Toutefois je suis menotté. Un haut gradé se présente et donne l'ordre de m'emmener au poste. Je suis surpris par ce comportement excessivement sévère. Plus tard, j'apprendrai que le vieillard assailli par la bête est l'un des fondateurs du FARC (mouvement d'opposition armée contre le régime, forces armées révolutionnaires de Colombie), et, l'agression est un attentat déguisé. Voilà, je me suis fourré dans de beaux draps maintenant! Moi : un garde du corps?? Mais c'est fou tout cela??" (fin du texte) Je souhaite savoir vos impressions; merci d'avance. Avec mes amitiés
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Utilisateur anonyme
30 déc. 2010 à 03:37
Bonjour Corinne! Par deux fois, j'ai écrit ici un début récent d'une histoire mais mais il est effacé. C'est dommage. J'ai voulu savoir vos impressions. Amitiés
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Utilisateur anonyme
14 janv. 2011 à 11:37
Oui, moi aussi j'adore écrire des nouvelles... mais je les trouve "plates" et je n'ose les faire lire... sauf à deux personnes et les avis ont convergé.. du coup je ne sais plus qui croire !!!
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Utilisateur anonyme
15 janv. 2011 à 15:03
A mon avis, il ne faut pas hésiter à écrire. Le succès n'est pas garanti au premier coup. Les critiques sont souvent encourageantes et aident l'auteur à améliorer ses écrits. Si tu trouves "plates" tes nouvelles, d'autres apprécieront autrement. De mon point de vue, le don d'écrire n'est pas donné à tout le monde. Cette vocation est très positive à tous : à l'auteur et aux lecteurs. Continue à rêver et à écrire. Cela fait du bien à toi surtout! J'aimerai lire un paragraphe au moins de tes nouvelles si tu ne vois d'inconvénient. A bientôt!
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Utilisateur anonyme
15 janv. 2011 à 23:28
Djilali, Je viens de prendre connaissance de votre réponse du 28/12/2010 (un bug sûrement de copains d'avant car je ne l'avais pas vu jusqu'à ce jour !). Le début de cette histoire que vous citez comme étant un "caprice passager" est extraordinaire. A la fin du texte, je ne souhaitais qu'une seule chose... connaître la suite ! A quand le prochain paragraphe ? Que devenez-vous entre le vieillard, l'enfant et les FARC ? Marie-Ange, Djilali, J'adore votre correspondance. Elle est source de motivation et d'écriture. Je rejoins l'idée de Djilali dans le souhait de lire un texte de Marie-Ange. Personnellement, j'écris depuis de nombreuses années, tout simplement pour l'amour des mots et de voir naître des fictions tout droit sorties de mon imagination ! Il y a quelques mois, un concours de circonstance m'a incitée à présenter un recueil de quatre nouvelles à un éditeur. Je voulais tout simplement avoir l'avis de professionnels suite à des critiques qui me semblaient être mal-appropriées... Ce n'est pas un avis que j'ai reçu mais un accord positif d'un comité de lecture de la maison d'édition (PUBLIBOOK). A présent, j'attends de recevoir le BAT et qui sait de voir prochainement mon ouvrage publié. Bien entendu, je ne manquerai pas de vous le faire savoir à tous les deux. Avec toute mon amitié et le souhait d'apprécier vos textes... mais aussi de partager de merveilleux moments d'écriture où plumes et imagination(s) s'embellissent de mots. A bientôt. Corinne.
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Utilisateur anonyme
23 janv. 2011 à 17:44
Bonsoir Corinne, ces dernières semaines, je suis subjugué par la révolution du jasmin, elle me distrait atrocement. Toutefois, votre dernière réponse a attiré tout mon intérêt. Je suis heureux pour vous; Vous aviez eu beaucoup d'énergie et de passion à écrire plusieurs nouvelles; C'est un très grand effort que vous aviez fourni. Cela vous aurait amené à souffrir énormément. Parce que, moi même au moment d'écrire je ressens un mal fou. Je vous souhaite de tout cœur beaucoup de succès. Voici la suite de mon "histoire" (ces derniers temps je suis stressé, je n'ai pu continuer) Le vieillard, les FARC et moi (2) (suite de la partie 1) Un homme, la quarantaine, au teint basané se détache furtivement de la foule et me chuchote à l'oreille : - N'ayez crainte, nous vous sauverons! ... La victoire ou la mort, nous vaincrons! Je tressaillis de surprise et de crainte; Je compris vite le bourbier dans lequel je m'enfonçais! Sans ménagement, je suis jeté dans le " panier à salade" comme une vulgaire "marchandise"! Le fourgon fonce vers un commissariat. A l'arrivée, un haut gradé m'attend dans un bureau spacieux et sombre, situé au fond du bâtiment. Il m'accueille avec ces mots : - Alors?! Monsieur veut jouer au héros?! Ha! Ha! Ha! ça va vous couter cher mon bonhomme!! Que venez-vous manigancer dans notre pays? Quelle est votre profession, vos orientations idéologiques et votre parti politique? Quatre policiers m'entourent les armes aux points. Les menottes ne m'empêchent de me lever brusquement et avec mes deux mains je donne une poussée vigoureuse sur la poitrine de l'officier, il est projeté loin en arrière et retombe lourdement sur le sol. Je hurle de plaisir : - Ha! Ha! Ha! Sal bourreau! Vas en enfer! Tu ne connais pas encore les Algériens! Les coups pleuvent sur moi. Je me protège tant que je peux, puis je passe à l'attaque, et ce, malgré l'obstacle des menottes . Les paroles de l'inconnu de tout à l'heure, me promettant la délivrance, m'encouragent à me défendre avec une énergie hors du commun. Une trentaine de policiers peine à me mettre hors d'état de nuire! (à suivre, l'aventure est rude, je ne sais si je pourrai continuer...) Bien à vous, amitiés
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Utilisateur anonyme
17 févr. 2011 à 04:25
Salut Corinne, Il me semble que tout le monde est distrait ailleurs y compris moi même. Le temps s'accélère on dirait : en quelques semaine Ben Ali est tombé suivi de Moubarak! A qui le tour? D'autre part, je découvre après-coup des fautes d'orthographe et de langue dans mes derniers écrits ("Le vieillard, les FARC et moi") : balbutiant au lieu de babutant, etc... Je m'en excuse. J'espère que vos travaux de publication ont avancé et vous, comment allez-vous? Amitiés
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Utilisateur anonyme
21 févr. 2011 à 23:35
Bonsoir Djilali, J'adore votre nouvelle. Il me tarde de lire la suite. Quant aux fautes d'orthographe, pas de pb... Nous en faisons tous ! Cela étant, les actualités françaises nous font cas de ce qui se passe actuellement dans les pays musulmans dont la Tunisie. La Démocratie et la Liberté de pensée(s) sont d'excellents mots à utiliser sans modération. Je vous souhaite à tous beaucoup de courage pour vos actions présentes et futures dans ce beau pays qui est la Tunisie. Ceci dit, pour la publication de mon livre... Il est à présent en ligne ! Il vous suffit de vous rendre sur Google et de taper "Publibook Corinne Bergero". J'ai intitulé mon recueil composé de quatre nouvelles : Quand le passé s'accorde au présent. Si vous souhaitez lire ce recueil, vous avez la possibilité de le commander ou tout simplement de le télécharger. Sur ce site, vous avez aussi la possibilité de lire les premières pages en sélectionnant un lien (en dessous de la présentation de mon livre après avoir cliqué sur le titre). A bientôt. Amicalement. Corinne

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Salut, le site a changé un peu, je ne sais si c'est comme avant que vous pourrez lire mes réponses; je vous félicite et suis content pour vos publications et aussi je vous remercie.
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Corinne ce commentaire précédent, je l'adressais à vous.
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