Je dispose encore de quelques ex de cet ouvrage de réflexion et de poésie : êtes
Utilisateur anonyme
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1 déc. 2010 à 15:55
Utilisateur anonyme -
1 févr. 2011 à 19:18
Bonjour à toutes et à tous,
J'ai publié, en 2009, à compte d'auteur un recueil à la Société des Poètes français (SPF) à Paris. Il me reste encore une bonne centaine d'exemplaires remis par l'éditeur pour couvrir mes avances de frais d'édition...
Ce recueil comporte de la poésie, mais aussi deux essais sur :
- les origines de notre Univers : y avait-il quelque chose avant le bing-bang ? analyse en termes scientifiques et... philosophiques ! En tant que scientifique moi-même je sors quelque peu des sentiers battus...
- l'origine protohistorique de la mesure du temps : pourquoi une semaine comporte-t-elle sept jours ? étude sur l'origine des chiffres 3, 7, 12, 13, 60... ça décoiffe un peu et ça conduit forcément à l'origine des dieux...
Si cet ouvrage vous intéresse, il peut être commandé au prix de 14 euros + frais d'envoi, à partir du bon de commande qui figure sur mon blog http://michelbaury.unblog.frsur lequel figure d'ailleurs de larges extraits du second essai et quelques poèmes de publications plus anciennes. Vous pouvez aussi me contacter à mon adresse michel.baury@sfr.fr et je vous communiquerai alors le bulletin de commande par courriel.
Je compte sur vous et sur l'intérêt que vous porterez peut-être à mes analyses scientifiques et philosophiques, après lecture de mon blog, dans lequel figure de larges extraits de "Mes intimes convictions"...
Je compte sur vous pour espérer simplement rentrer dans mes fonds...!!!
Avec toutes mes amitiés poétiques.
bonjour,
je viens de lire votre annonce. Votre article est super, on a envie d'aller voir sur votre site des extraits et peut-être d'acheter. Mais vous devriez retirer la dernière phrase qui gache tout ! je cite : " je compte sur vous pour rentrer dans mes fonds" . Conseil d'une ex commerçante (10 ans) et fille de commerçant. Retirez-donc cette phrase... vous n'êtes pas à la recherche de pigeons mais de lecteurs. Et bon courage.
Nath Lastolf