13 réponses
En effet " le violon rouge " écrit par F. Girard et E.Fourlanty et paru en Octobre 1999 est malheureusement indisponible .Tirage épuisé.
En 1998, à Montréal, le Violon rouge est mis aux enchères. Personne ne connaît vraiment l'histoire de cet instrument fabriqué par le maître italien Bussoti. Au XVIIe siècle, ce dernier créa le violon parfait pour son futur fils. Hélas, celui-ci meurt à la naissance, emportant la mère. Bussoti, fou de chagrin, vernit son violon avec le sang de sa défunte femme afin de lui conférer son âme. Dès lors, le 'Violon rouge' traversera les siècles, provoquant l'adoration, la folie ou la mort des personnes en sa possession. Oscar 2000 de la meilleure musique originale pour John Corigliano.
A bientôt !
Kamel Kies
Le titre est "le violon rouge". Il a été écrit par Eric Fourlanty et F. Girard. Je n'ai vu qu'un seul ouvrage manuscrit, c'est à la FNAC et les auteurs étaient ceux-ci.
CATHERINE
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Il y a également "Le violon noir" de Maxence Fermine, auteur que je conseille vivement. "L'apiculteur" m'a particulièrement plu.
Le violon rouge est écrit par F. Girard et E.Fourlanty aux éditions Desclée de Brouwer.
Bonne soirée
Lydie
Film réalisé par François Girard
La musique du Violon rouge a été récompensée par l'Oscar de la meilleure musique de film en 1999.
Le film a remporté huit Prix Jutra lors de la première édition de leur remise en 1999, dont le titre de Meilleur film québécois de l'année, Meilleure Réalisation et du Meilleur Scénario.
Histoire :
Nicolo Bussotti, maître luthier de Crémone, termine en 1681 un violon qu'il destine à son fils à naître. Mais sa femme décède tragiquement en couches après qu’une cartomancienne lui a révélé l’avenir et c'est d'ailleurs à travers les cartes du tarot que chaque chapitre de l’histoire de l’instrument est introduit. Bussotti va alors vernir l'instrument avec le sang de la défunte, et l'âme de cette dernière accompagnera désormais le destin de ce violon exceptionnel. À Vienne tout d'abord, dans l'enceinte d'un orphelinat dirigé par des moines, où l'instrument sera confié à un petit prodige au cœur malade, vite achevé par la férule d'un maître de musique français trop ambitieux. À travers montagnes, plaines et mers ensuite, quand des gitans vont piller la tombe du petit prodige et... faire voyager le violon, qui va se retrouver à Oxford où un aristocrate décadent va l'acquérir et perpétuer sa destinée. À Shanghaï enfin, en pleine Révolution culturelle, où la fille d'une ancienne musicienne professionnelle, elle-même partisane du régime de Mao, refusera de détruire l'instrument en hommage à sa mère (qui l'avait possédé), et le confiera à un vieux professeur de musique désespéré par l'oppression. Pour finir, une génération plus tard, après que l'instrument est retrouvé chez ce professeur chinois - décédé dans son grenier au beau milieu d'une vaste collection secrète d'instruments en tous genres - les autorités vont confier le violon à une société de vente aux enchères de Montréal où un expert à l'œil aiguisé va reconnaître, ce qui était son vœu le plus cher, un véritable Bussotti. Lors de la vente finale du Violon Rouge, et grâce au concours d'un employé du laboratoire d'analyse de la société Duval, cet expert va réussir à substituer in extremis l'unique copie de l'instrument (qu'il va lui-même racheter d'une collection privée de Londres) à l'original... et offrira ce dernier à sa fille, accomplissant ainsi, trois siècles plus tard le fabuleux destin de cet instrument magique.
Je ne connais pas le livre mais vous pouvez toujours voir le film ...