Naître un jour, puis n'être jamais! (revu)

Utilisateur anonyme - 16 nov. 2010 à 12:16
 Utilisateur anonyme - 19 nov. 2010 à 17:42
E (!) Faut-il porter toujours les propos de compères Qui disent au grand jour ce qui les désespère. Je pense par moi-même avec cet héritage Légué par ceux que j’aime et qui fait mon langage. Quand, dans la réclusion, on éteint son esprit, On brûle ses passions sans afficher le prix. Libérez vos idées pour vous donner l’élan Qui va tout débrider sans détourner vos plans. Humez par vous-même ces senteurs de la vie Faîtes qu’on vous aime pour votre simple avis. Courir près l’idole vous cisaille les ailes ; Dansez la farandole et dopez votre zèle. Sortez l’énergie qui se blottit en vous Oyez liturgie qu’ici je vous avoue. Changer un peu : c’est bien, renouveler c’est mieux ; Faut-il qu’un petit rien vous rende soucieux. J’attends de votre éveil de joyeuses lectures Livrant des merveilles qui cachaient leurs statures. Osez donc paraître dans le simple appareil Ne soyez pas l’être qui bouche ses oreilles.

3 réponses

Utilisateur anonyme
17 nov. 2010 à 23:27
Lire Cioran "De l'inutilité d'être né" .C'est peut être un début de réponse ou de questionnement.
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On ne possède rien, rien n’est acquis. Même la vie n’est qu’un court emprunt à l’éternité. La preuve : il faut la rendre un jour. Et on repart nu, comme on est arrivé. Mais avant, il faut avoir connu la joie de vivre, revêtu du costume éphémère de l’amour.
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Utilisateur anonyme
19 nov. 2010 à 17:42
Voilà une belle pensée philosophique(!) Rester dans les clous, puisque les balises ont été posées (!)
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