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55 réponses
A toi tout simplement
A dix huit ans, encore enfant
j'ai aimé innocemment
Pétri de certitudes, d'idéalisme triomphant
Des filles, ma foi, assez cruellement
M'ont écarté sans ménagement.
A vingt cinq ans, plus regardant,
j'ai aimé sincèrement
Une femme enfant, trop facilement
Et mon réveil, peu après, je le vécu douloureusement.
Mais pour aimer durablement, j'avais encore le temps.
Ensuite, et bien des années durant
J'ai aimé n'importe comment
Ivre de liberté, de stupre et sans discernement,
J'ai joui de la vie, immodérément et à pleines dents
En vérité sans apaisement, constat plutôt frustrant.
Vers trente cinq ans, fort heureusement,
J'ai rencontré, aimé la femme que l'on attend
Celle que l'on a envie d'aimer pleinement
Mais, hélas, l'histoire encore se répétant
Le temps et l'enfantement nous éloignèrent tout doucement.
Des épisodes navrants achèvent ce tableau affligeant
Des amours brefs et dissonants,
Intellectuellement et physiquement bien peu satisfaisants
De quoi s'interroger précisément sur l'amour et ses tourments
L'amour apaisant, vrai et enrichissant existe-t-il vraiment ?
La réponse est oui, clairement et indiscutablement
Mais il faut parfois l'attendre longtemps, patiemment,
Et lorsqu'il survient, surtout, le saisir avidement
Sans retenue, ni scrupules d'un autre temps.
Amour, délices des délices, incomparable et enivrant.
Aujourd'hui, les cheveux quelque peu grisonnants
J'aime résolument, d'un amour éclatant
D'un amour pur et fortifiant
Celui qui transcende, rend meilleur étrangement.
Oui, j'aime comme jamais et c'est un éblouissement,
Exceptionnel et dévorant, une sorte d'aboutissement.
Je le sais et tu le sais pertinemment
Je t'aime follement, sans réserve, obstinément,
D'un amour prégnant et gratifiant.
Je t'aime passionnément
Furieusement
Définitivement.
Bravo à toutes et à tous... Vos poèmes inventés sont très beaux. L'Amour n'est jamais impossible, il faut y croire jusqu'au bout. Encore...
Épargne ma sueur, chaleur trop accablante,
Et glisse sous fon nez le parfum de la menthe.
En alexandrins siouplaît et avé la contrepèterie.
Vous n’avez pas trouvé la réponse que vous recherchez ?
Posez votre question
Michel, je me suis permis de rajouter les quelques vers qui manquaient, toujours de Jacques Brel, bien sûr.
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Rêver un impossible rêve
Porter le chagrin des départs
Brûler d'une possible fièvre
Partir où personne ne part
Aimer jusqu'à la déchirure
Aimer, même trop, même mal,
Tenter, sans force et sans armure,
D'atteindre l'inaccessible étoile
Telle est ma quête,
Suivre l'étoile
Peu m'importent mes chances
Peu m'importe le temps
Ou ma désespérance
Et puis lutter toujours
Sans questions ni repos
Se damner
Pour l'or d'un mot d'amour
Je ne sais si je serai ce héros
Mais mon coeur serait tranquille
Et les villes s'éclabousseraient de bleu
Parce qu'un malheureux
Brûle encore, bien qu'ayant tout brûlé
Brûle encore, même trop, même mal
Pour atteindre à s'en écarteler
Pour atteindre l'inaccessible étoile.
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Rêver un impossible rêve
Porter le chagrin des départs
Brûler d'une possible fièvre
Partir où personne ne part
Aimer jusqu'à la déchirure
Aimer, même trop, même mal,
Tenter, sans force et sans armure,
D'atteindre l'inaccessible étoile
Telle est ma quête,
Suivre l'étoile
Peu m'importent mes chances
Peu m'importe le temps
Ou ma désespérance
Et puis lutter toujours
Sans questions ni repos
Se damner
Pour l'or d'un mot d'amour
Je ne sais si je serai ce héros
Mais mon coeur serait tranquille
Et les villes s'éclabousseraient de bleu
Parce qu'un malheureux
Brûle encore, bien qu'ayant tout brûlé
Brûle encore, même trop, même mal
Pour atteindre à s'en écarteler
Pour atteindre l'inaccessible étoile.
Frida.
Dans ce vieux bar,insalubre et mal fréquenté,
assis a une table le visage trop fardé,
parmi ces hommes ivres et vulgaires,
tu paraissais Frida si loin de la terre.
ils t'embrassaient dans le cou,te prenaient la main...
Tu te pinçais les lèvres mais ne disais rien...
Et quand l'un d'eux t'as précédée là-haut,
j'ai vu ta haine lui poignarder le dos.
Je ne sais pourquoi,toute la nuit je suis resté,
guettant ton retour,ne sachant qu'espérer.
D'autres filles sont venues vers moi,
me parlant d'amour et de folies...
Mais Frida c'était toi,
que j'attendais cette nuit.
Les heures s'enchainaient a mes souvenirs...
Et ton visage noyé de brume paraissait m'appeler,
une présence lointaine narguait mes souvenirs,
une ombre de jadis que j'aurais pu aimer,
une femme comme toi il y a tant d'années.
Quand a l'aurore tu es enfin revenue,
lasse et décoiffée tu ne m'as même pas vu.
D'un seul coup tu as bue deux verres d'alcool,
et puis tu t'es mise a rire comme une folle...
Et dans tes grands yeux si noirs,
moi seul ai lu ton désespoir.
Tu n'étais qu'une de ces filles de rue,
jamais ne t'ai parlé,jamais ne t'ai revu...
Mais quand tombe le soir et que j'ai froid,
résonne dans ma tête ton prénom:Frida.
Myriam Delcroix.
Impossible n'est pas français
Fais de moi ce qu'il te plaît
Pour ne plus passer ton chemin
Mets mon nom sur ce parchemin
Pour retenir en ton coeur
La beauté d'un bonheur
Perdu pour toujours
D'un Amour en plein Jour
"J'ai envie de citer "l'encre des tes yeux....."Les chaînes qui le retiennent,
"L'encre de tes yeux"!
les chaînes qui le retiennent,
longueur des semaines
désespoir du soir
doutes ou espoirs
vie sans saveur
attise la douleur...
Quel beau poème Pierre! Merci infiniement à tous d'avoir écrit de si jolis
vers... Les amours impossibles ne sont-ils pas parfois les plus beaux ?
A toi ,
Tu avais mon coeur,
moi, j'avais le tien.
Un coeur pour un coeur,
Bonheur pour bonheur.
Le tien est rendu,
Je n'en ai plus d'autre !
Le mien est perdu.
La feuille et la fleur et le fruit lui même,
L'encens et la couleur,
Qu'en as tu fait ?
Qu'en as tu fait de ce doux Bienfait ?
Comme un pauvre enfant,
Quitté par sa mère , et que rien ne défend,
Tu me laisses là, dans ma vie amère!!!!!!!!!!
Sais-tu qu'un jour tu reverras l' Amour ,?
Tu appeleras sans que l'on te réponde,
Et tu songeras ...........
Tu deviendras l' Amour,
et tu viendras rêvant sonner à ma porte !
Ami ! comme avant ! .. Et l'on te dira :
- personne, elle est morte !
Et qui te plaindra ALORS ???????????
MJT ( en 1978 ) .
Te peindre à dessein
Que j'aime à la pointe de mon fusain
Arrondir tes reins, modeler tes seins,
Des ombres te donner, à la terre de Sienne.
De cette argile tendre caressée de ma main,
Un relief, une larme sur le bronze de l'airain
Mélangée aux brumes et ambruns du matin
Te donnera vie ma chère petite sirène.
Patiente, tu attends le gréement de ton amant,
Tu m'ignores, les yeux noyés vers l'océan.
Les pinceaux avec lesquels je me démène,
Jamais ne sauront dire combien fut grand
L'ineffable amour de deux enfants.
Je te peins et je pleure tout en espérant
Que plus jamais écume tu ne redeviennes.
Bernard Sicard
30 juin 2008.
c'est beau Bernard ....
Tous ceux qui ont participé ont vraiment écrit de belles belles choses. C'est très très émouvant.
J'espère que cette question va tenir assez longtemps, pour qu'il puisse en avoir beaucoup qui répondent avec leur coeur , leur ame, leur passion,
Oui, c'est une très très bonne idée cette question.
Extrait de 'Danytchka', chapître 2 L'idéal :
"Evocation de l'inévocable. Danytchka aurait découvert le sens même de la façon que l'amour marche ? Il serait si complexe de l'expliquer avec des mots et on passerait de biais en biais. Ce n'est pas vraiment une suite de faits de vie, et c'est pourtant la vie de beaucoup de femmes et d'hommes ! (...)
Danytchka aperçoit dans ses rêves de si nombreux tableaux, si vous pouviez les contempler ! Une espèce de réalité mal réelle ! Jusqu'en quel temps faudrait-il que Danytchka ressasse tout ce vécu ?
Il semble être bien plus plaisant et agréable d'être amoureux dans la réalité. (...)
Danytchka semble ressentir en son coeur l'ambiance plaisante du monde alentour. Vision de tant d'êtres, avec lequel il devrait, probablement, être possible de vivre dans le bonheur. Que peut signifier être dans la félicité. Des émotions et des désirs que Danytchka aurait, pourtant, voulu, encore plus ressentir. Toute l'importance de la gestuelle, tout l'essentiel de la compréhension. Toujours plus loin, toujours des pensées douces. Danytchka songe si on prenait..."
Auteur inconnu.