Je recherche la suite de ce passage dont je me rappelle par coeur

Résolu
Utilisateur anonyme - Modifié par charlene-v le 17/06/2016 à 15:32
 Arleen - 18 janv. 2024 à 03:18
Bonjour,

"assis dans un coin au milieu de la pièce il lisait un livre fermé à la lueur d'une chandelle éteinte. Un éclair obscur illumina la pièce l'orage grondait en silence.... "

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83 réponses

Utilisateur anonyme
6 oct. 2008 à 11:16
moi aussi j'ai une version qu'on m'a appris il y a longtemps mais je pense m'en rappeler alors je me lance un jour c'était la nuit minuit sonne il est 2h je m'assoit sur un banc de pierre en bois pour lire mon journal non imprime plié en 4 dans ma poche soudain un long bruit sourd retentit je monta à la cave pour descendre au grenier et vit par le trou de la serrure boucher 4 nègres blanc en train de déterrer les morts pour les manger vivants
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shana77 Messages postés 2 Date d'inscription lundi 17 juin 2013 Statut Membre Dernière intervention 3 mai 2014
3 mai 2014 à 23:43
moi aussi mais 1 version 1 peu diffèrente c'est:
cétait 1 jour en pleine nuit je vis par le trou de la serrure bouchée 3 nègres blancs qui déterraient les morts pour les manger viviant!
un jeune veillard assis debout sur 1 banc de pierre en bois lisait à la lueur d'1 réverbère éteint son journal plié en 4 dans sa poche. Tout à coup il entendit 1 faible bruit, levant les yeux par terre, il vit un sanglier à plume qui s'envolait dans le feuillage touffus d'1 poteau télégraphique en fleur.
voilà la version que je tiens de ma mère j'avais entre 12 et 15 ans quans je l'ai apprise, car je lla trouvais amusante!
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Utilisateur anonyme
6 oct. 2008 à 11:17
moi aussi j'ai une version qu'on m'a appris il y a longtemps mais je pense m'en rappeler alors je me lance un jour c'était la nuit minuit sonne il est 2h je m'assoit sur un banc de pierre en bois pour lire mon journal non imprime plié en 4 dans ma poche soudain un long bruit sourd retentit je monta à la cave pour descendre au grenier et vit par le trou de la serrure boucher 4 nègres blanc en train de déterrer les morts pour les manger vivants
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moi c'était : "un jour qu'il faisait nuit à lueur d'un bec de gaz éteint, un vieux , tout jeune , assis sur une pierre en bois , lisait à l'envers le journal plier en 4 dans sa poche qui parlée de la mort de sont père qui n'était pas encore née
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Utilisateur anonyme
12 oct. 2008 à 00:05
ce poème est très beau ! merci pour ce précieux et court instant de lecture
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Utilisateur anonyme
12 oct. 2008 à 14:10
la version que mon papa m'a apprise petite est : Minuit l'heure du crime Un homme assis debout coucher sur un banc de pierre de bois de fer lisait son journal plié en 4 dans sa poche à la lueur d'une bougie éteinte Soudain il entendit du bruit Il monte à la cave descends au grenier Et là par son œil borgne par le trou de la serrure bouchée Il voit deux nègres blanc qui déterraient les morts pour les manger vivant Alors il sort son épée de fil de fer barbelé et leur coupe la tête à ras les doigts de pied. J'aimais beaucoup cette comptine un peu macabre !!!!
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Utilisateur anonyme
12 oct. 2008 à 15:02
Midi , l'heure du crime ! Un jeune vieillard assis-debout sur une pierre en bois lisait son journal plié en quatre dans sa poche à la lueur d'une bougie éteinte . Le tonnerre grondait en silence et les éclairs brillaient sombres dans la nuit claire. Il monta quatre à quatre les trois marches qui descendaient au grenier et vit par le trou de la serrure bouchée un nègre blanc qui déterrait un mort pour le manger vivant . N'écoutant que son courage de pleutre mal léché , il sortit son épée de fils de fer barbelés et leur coupa la tête au ras des pieds ! Voilà , j'ai du connaître cette "comptine" vers l'age de 7 ans et m'en souviens encore.
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merci ! je ne me souvenais plus de la suite !! j'entends encore ma grand mère qui me le récitait !!! merci
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Utilisateur anonyme
10 déc. 2009 à 08:48
Je recherche également le texte exact dont j'ai quelques brides : C'était en 14-14-14, quatorze brigands assis sur quatorze pierres en bois attendaient quatorze passants qui ne devaient pas passer. Le chef de brigands dit alors : Allons, Pédro, raconte nous cette histoire que tu sais si bien et qu tu dis si mal. Pédro se leva, toussa, éternua, cracha et dit : (mais, après c'est le trou et je ne saurais peut-être pas ce que disait Pédro). Il est question aussi des morts tout vivants qu'on déterre et de la lueur de la bougie éteinte.
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Utilisateur anonyme
8 févr. 2010 à 18:42
Voici la version de mon grand-père : "X (oublié le nom) pisse, pète, crache et dit : Un jour, c'était la nuit. 12 brigands assis sur 13 rochers attendaient dans la plaine un train qui ne devait pas passer. Un sanglier dansait la diguedondaine sur les branches fleuries d'un poteau télégraphique. Un nègre blanc assis sur une pierre de bois lisait un journal plié en quatre dans sa poche à la lueur d'une chandelle éteinte."
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Utilisateur anonyme
26 mai 2010 à 10:01
moi j'ai cette version un jour s'était la nuit un homme femme assis debout sur un banc de pierre en bois liser sont journal non imprimer a la lueur d'un réverbéré éteint
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Utilisateur anonyme
24 juin 2010 à 15:39
Une version de ma grand mère: Un jour qui n'était pas une nuit, Je lisais mon journal qui n'était pas écris A la lueur d'une chandelle qui était éteinte Lorsque je vis entrer par la porte fermée Un tout jeune vieillard qui me dit sans me parler "après 20ans de gloire et de travaux forcés, je reviens sain et sauf avec les reins cassés"
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Utilisateur anonyme
15 sept. 2010 à 02:03
Un jour, c'était la nuit J'étais assis tout debout couché sur mon lit Je lisais mon journal plié en 4 dans ma poche à lueur d'un bec de gaz éteint J'entends du bruit Je monte à la cave Je descends au grenier Je regarde par le trou d'une serrure bouchée Des nègres blancs qui déterraient les morts Pour les manger vivants Racine boit l'eau de la fontaine Maux-lierre
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Utilisateur anonyme
19 nov. 2010 à 20:45
Ma grand mère me la racontait comme ça : Un jour qu'il faisait nuit, assise debout dans mon lit je lisais mon journal plié en 4 dans ma poche à la lueur d'un bec de gaz éteint j'entends du bruit dans mon grenier je monte dans ma cave ensuite je ne me souviens plus mais il était question de chair fraîche morte depuis 15 jours
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La version de mon grand père: c'était en 1313, le vendredi était un 13, 13 brigands descendaient d'une montagne basse et attendaient 13 français qui ne devaient pas venir....C'était un jour qu'il faisait nuit, le tonnerre grondait en silence et par mille éclairs annonçait son absence. Je dormais éveillée étant couché sur mon lit lorsqu'un jeune vieillard s'approche de moi en reculant, et sans me parler il me dit.....( et je sais plus)
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un jour c'était la nuit un jeune vieillard assis debout couché sur un banc de pierre en lisait un livre non imprimé a la lueur d'une bougie éteinte
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Voici ma version, apprise « sur les genoux » d'un ancien boulanger puis ouvrier métallo de la Loire. Je vous demande de citer son nom, il est décédé il y a 4 mois : André Largeron. Néanmoins, j'apprécie les quelques tentatives de réponses données car je sais qu'il existait plusieurs textes du même genre. Notamment un qui contenait « A travers les vitres obscurcies par la fumée de ma cigarette, je vis vingt cavaliers indiens chevauchant des portemanteaux ». je me souviens aussi de minuit l'heure du crime et du trou de la serrure et des nègres blancsJ e narre donc.

C'était en 1914, 14 brigands, assis sur 14 rochers, attendaient 14 passants qui ne devaient jamais passer. Soudain, le chef se leva et dit à Pedro : Pedro, raconte nous l'histoire que tu sais si bien mais que tu racontes si mal. Pedro se leva, cracha, peta, pissa, toussa, rota, se moucha et dit :(apprendre à le dire très vite, sans respirer)
- Un jour, c'était la nuit. Tandis que les oiseaux éveillés dormaient paisiblement et que les vents déchaînés soufflaient tranquillement, j'étais assis, debout, couché, sur un banc de pierre en bois et je lisais à la vive lueur d'une chandelle éteinte un journal non imprimé, plié en quatre dans ma poche. Soudain, au loin, très proche, je vis quelque chose que je voyais très bien mais que je distinguais très mal. C'était un jeune vieillard, nue tête, coiffé d'un grand chapeau, qui avançait tout en reculant et qui me disait tout en se taisant : « Aujourd'hui, c'est le plus beau jour de ma vie. J'ai traversé le Mont-Blanc à la nage et, sur les tiges d'un poteau télégraphique, j'ai vu un petit éléphant qui se balançait comme un singe. D'un pied sûr, j'ai tiré mon couteau de ma poche et, le visant entre les deux yeux, je l'atteignis en pleine poitrine. Il tomba aussitôt raide mort sur ses quatre pour se relever aussitôt et courir sans bouger de place ». Un jour, c'était la nuit.
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zut, je relis 08/02/2010 et je vois que j'ai oublié "fleuries". Le tiges sont effectivement fleuries aussi dans ma version
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Bon, je propose la reconstruction-synthèse ci-dessous mais ce n'est pas l'original en m'aidant de vous tous et en attendant tous ceux qui nous feront progresser

C'était en 1914, 14 brigands, assis sur 14 rochers, attendaient 14 passants qui ne devaient jamais passer. Soudain, le chef se leva et dit à Pedro : Pedro, raconte nous l'histoire que tu sais si bien mais que tu racontes si mal. Pedro se leva, cracha, peta, pissa, toussa, rota, éternua, se moucha et dit :(apprendre à le dire très vite, sans respirer)
- C'était un jour qu'il faisait nuit, le tonnerre grondait en silence et par mille éclairs sombres annonçait son absence dans la nuit claire. Tandis que les oiseaux éveillés dormaient paisiblement et que les vents déchaînés soufflaient tranquillement, j'étais assis, debout, couché, sur un banc de pierre en bois et je lisais à la vive lueur d'une chandelle éteinte un journal non imprimé, plié en quatre dans ma poche. Soudain, j'entendis un énorme bruit silencieux dans la cave et je montai quatre à quatre les trois marches qui descendaient au grenier. C'est alors que collant mon oeil borgne au trou de la serrure bouchée, je pus entendre un nègre blanc qui déterrait un mort pour le manger vivant . N'écoutant que mon courage de pleutre mal léché , je sortis mon épée de fils de fer barbelés et lui coupai la tête au ras des pieds ! Midi, l'heure du crime sonna ses deux coups. Un éclair obscur illumina la pièce et je pus voir à travers les vitres obscurcies par la fumée de ma cigarette vingt cavaliers indiens chavauchant des portemanteaux puis, au loin, très proche, j'entrevis quelque chose que je voyais très bien mais que je distinguais très mal. C'était un jeune vieillard, nue tête, coiffé d'un grand chapeau, qui avançait tout en reculant et qui me disait tout en se taisant : « Aujourd'hui, c'est le plus beau jour de ma vie. J'ai traversé le Mont-Blanc à la nage et, sur les tiges fleuries d'un poteau télégraphique, j'ai vu un petit éléphant qui se balançait comme un singe. D'un pied sûr, j'ai tiré mon couteau de ma poche et, le visant entre les deux yeux, je l'atteignis en pleine poitrine. Il tomba raide mort sur ses quatre pattes pour se relever aussitôt et courir sans bouger de place ». Un jour, c'était la nuit. Ce jour, c'était la nuit.
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Dans les années 50, un aumonier scout de Versailles avait dans son répertoire cette histoire, la suite suivant mon souvenir est : l'orage grondait en silence et par un sombre éclair anonçait sa présence
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A la lecture des différentes versions, je pense avoir reconstitué cette histoire telle que je la connaissais.

Un jour c'était la nuit, minuit sonne il était deux heures du matin,
L'orage grondait en silence et par un sombre éclair annonçait sa présence.
Assis debout couché sur un lit de pierre en bois, un jeune homme de 90 ans lisait un journal plié en quatre dans sa poche à la lueur d'une chandelle éteinte.
Un long bruit sourd retentit, un homme monte à la cave pour descendre au grenier et par son oeil borgne vit par le trou de la serrure boucher, 4 nègres blancs en train de déterrer les morts pour les manger vivants. Alors il sorti son couteau plier dans sa poche et leur coupa la tête au ras des doigts de pied
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La version que m'avais appris mon grand père est la suivante : "Un jour, c'était la nuit. Un jeune vieillard assis debout couché sur un banc de pierre en bois lisait son journal non imprimé plié en 4 dans sa poche à la lumière d'un réverbère éteint. Le tonnerre grondait sans bruit. Les éclairs jaillissaient sans lumière. J'avançais à reculons. Je monte à la cave et descends au grenier. Je regarde par le trou de la serrure bouchée des nègres blancs qui déterraient les morts pour les manger vivants."
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Autre version: Assis, debout, couché, sur un banc de pierre en bois rouillé, un aveugle lisait un journal qui n'était pas encore imprimé
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J'ai une autre version :

Un jeune vieillard, assit debout sur son rocher de bois, fumant sa pipe éteinte et lisant son journal non imprimé, se posa une question d'ont il savait déjà la réponse !
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Je me souviens de la fin d'une version : Soudain l'homme entendit un léger bruit .. BOOOUMMM c'était un hippopotame qui volait de fleur en fleur.
L'homme prit son sabre et fit feu, l'animal tomba, et quand il se releva, il était mort.
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Voila la version que m'a dite mon père

Un jour, c'était la nuit. Un jeune vieillard assis tout debout dans un coin au milieu de la pièce, lisait a la lueur d'une bougie éteinte dans un livre fermé.
C'était beau mais c'était triste.
Jusqu'au capitaine des pompiers qui pleurait dans son casque. Quand le casque fut plein, un goutte tomba sur un noyau d'olive qui germa.
C'était beau mais c'etait triste.

Encore une version de plus LOL.
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Encore une autre qui en a certaines idées c'est amusant :

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Un jour c'était la nuit, un jeune vieillard assis debout, regardait les yeux fermés le soleil levant qui se couchait.
Mes amis ! leur dit-il.
Vous souvenez-vous de la grande bataille qui se tenait aux alentours de Tolbiac.
On se battait depuis 10 ans sur l'avant de mon navire que l'arrière n'en savait encore rien.
Quand soudain, un capitaine d'infanterie prit son sabre de cavalerie et brûla la magnifique cervelle d'un ?sanglier? perché sur la branche fleurie d'un poteau télégraphique.
- De mon grand père Claude HERMAN de Lunéville (54300), XXème siècle -
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cette histoire est connue par d'autres personnes ? ayant d'autres versions ou des passages oubliés ?
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voici ma version celle de mon pepere christian "un jour c'etait la nuit mon grand pere assis tout debout sur le cote du milieu de son lit lisait son journal plier en 4 dans sa poche a la lueur d'une bougie eteinte tout a coup il entent du bruit a la cave il descend au grenier il regarde par le trou de la serrure bouchee par du papier en bois il voit 3 negres blanc qui detterais les morts pour les manger vivant
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Géniales toutes ces versions... Si quelqu'un connaît l'origine de tous ces récits, qu'il se manifeste !

Pour ma part, je peux vous conter celle que mon papy Jean me répétait à l'envie quand j'étais petit :

"Un jeune vieillard assis tout debout dans son lit, lisait un journal non imprimé à la lueur d'un bec de gaz éteint. Tout à coup, il entend du bruit à la cave, que fait-il ? il monte au grenier. Et que voit-il par le trou de la serrure bouché ? Un jeune vieillard assis tout debout dans son lit etc etc etc"

A la dixième répétition, commence la transe...
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J'ai aussi celle-ci que j'ai apprise indépendamment : Un jour en 1515, 15 brigand armés de 15 couteaux et de 15 revolvers à 15 coups, attendaient une caravane. Le plus vieux dit au plus jeune "Bill, raconte nous une histoire". Bill se leva, toussa, éternua et dit : "Un jour en 1414, 14 brigands armés de 14 couteaux et de 14 revolvers à 14 coups attendaient une caravane...
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un jour c'était la nuit, un homme assis couché lisait son journal non imprimé à la lueur d'un lampadaire éteint c'est homme c'était ma mère
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