Je recherche la suite de ce passage dont je me rappelle par coeur

Un jeune vieillard assis debout  sur une roche de bois contemplait la nature les yeux fermés  bien dure. ... Le linge à gelé mou sur la corde cassé par une nuit ensoleillé....

Voici la version de mon grand-père:

1313 un vendredi 13, 14 brigands armés de 13 couteaux de 13 coups, l'un dit a Pierre raconte moi une histoire qui commence si bien mais qui fini si mal. Un jour deux hommes assis, debout, par terre lisaient a la lueur de la lampe éteinte. Quand soudain il entendit le gazouillement d'un écureuil dans les branches d'un poteau de téléphone.

Cité par : Alfred Bellemort

Un homme assis sur un banc de pierre en caoutchouc,  lisais son journal plier en 4 dans sa poche à la lueur d'un réverbère éteint, soudain il entendis un bruit sourd, alors il monte à la cave qui descend au première étage, regarde par le trou de la serrure boucher 3 nègres blancs qui déterre les morts pour les manger vivant, alors il ouvre la porte qui etais dejas, sort son foureau de son épée et leur coupe la tête au ras de la plante des pieds.

Voilà mon souvenir:

Minuit, l'heure du crime. Un homme assis au coin d'une table ronde lit un livre fermé à la lueur d'une bougie éteinte.

Soudain, il entend un son sans bruit. Il monte à la cave et descend au grenier et voit un nègre blanc ....

Je ne me rappelle plus de la fin.

Un jour c'était la nuit un jeune vieillard assis debout couché par terre sur son lit lisait son journal grand ouvert prier en quatre dans sa poche à la lueur d'un bec de gaz éteint tout d'un coup il entendit du bruit dans le grenier il monte à la cave regarda par le trou de la serrure bouchée est que vit-il dans le noir de mort-vivant qui déterrait des morts pour les manger vivant