Je recherche la suite de ce passage dont je me rappelle par coeur
Résolu
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86 réponses
un jour c'était la nuit, un homme assis couché lisait son journal non imprimé à la lueur d'un lampadaire éteint c'est homme c'était ma mère
Un jour c'etait la nuit , le tonnerre en silence par de sombre eclaire annoncé son absence ... j'etais debout , assis, couché dans mon lit , lorsqu'un jeune viellard en reculant s'avancant se taisant me dit : un jour , c'etait la nuit .
La mienne :
"Un jour, c'était la nuit, un vieillard de 15 ans, assis sur une pierre en bois, lisait un journal plié en quatre dans sa poche à la lueur d'un réverbère éteint. Un homme passe. C'était sa femme. Il lui dit : souviens toi mais ne te rappelle jamais... dans une forêt touffue de quatre manches à balais, des nègres blancs déterraient des morts pour les manger vivants."
"Un jour, c'était la nuit, un vieillard de 15 ans, assis sur une pierre en bois, lisait un journal plié en quatre dans sa poche à la lueur d'un réverbère éteint. Un homme passe. C'était sa femme. Il lui dit : souviens toi mais ne te rappelle jamais... dans une forêt touffue de quatre manches à balais, des nègres blancs déterraient des morts pour les manger vivants."
Un jour, c'était la nuit.
Un jeune vieillard, assis debout sur une roche de bois
Regardait, les yeux bouchés ben dur
Le soleil en pleine nuit.
Un jeune vieillard, assis debout sur une roche de bois
Regardait, les yeux bouchés ben dur
Le soleil en pleine nuit.
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un jour c etait la nuit.Un jeune vieux assis debout sur un bance de pierre en bois, lisait son journal non imprime plié en quatre dans sa poche a la lueur d une bougie éteinte.
il entendi du bruit a la cave , monta au grenier et vit par le trou de la serrure bouchée ,
un nègre blanc qui déterrait un mort pour le mangé vivant . pendant ce temps , l hippopotame gazouillait gaiement sur les fils télégraphique
il entendi du bruit a la cave , monta au grenier et vit par le trou de la serrure bouchée ,
un nègre blanc qui déterrait un mort pour le mangé vivant . pendant ce temps , l hippopotame gazouillait gaiement sur les fils télégraphique
les textes que je viens de lire non aucun rapport avec le véritable. Ils reposent
sur des ont-dit ou j'ai entendu...... ce petit texte fut simplement écrit par des
élèves de l'académie de musique de LILLE en 1936 entre eux pour blaguer tout
simplement et à l'époque ils ne parlaient certainement pas de " mort vivant de
zombie et autres conneries de ce genre...." voilà ce que je sais moi de tout ça !!
sur des ont-dit ou j'ai entendu...... ce petit texte fut simplement écrit par des
élèves de l'académie de musique de LILLE en 1936 entre eux pour blaguer tout
simplement et à l'époque ils ne parlaient certainement pas de " mort vivant de
zombie et autres conneries de ce genre...." voilà ce que je sais moi de tout ça !!
Hérosgène
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vendredi 31 mai 2013
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31 mai 2013
31 mai 2013 à 02:05
31 mai 2013 à 02:05
Mon grand-père Eugène m'avait raconté cette histoire à contraires qu'il tenait des tranchées en 14-18. Ma mère qui l'avait entendue maintes fois me l'avait ensuite redite et je l'avais notée sous cette forme. Il est tout à fait logique q'il existe plusieurs versions car ces histoires étaient transmises oralement.
HISTOIRE A CONTRAIRES
C'était un soir d'été pendant l'hiver
Couché droit sur mon lit, je dormais éveillé
A la lueur d'un bec de gaz éteint.
Le tonnerre par son silence
Et les éclairs par leur obscurité
M'annonçaient leur présence.
C'est alors que je vis approcher de moi en reculant
Un vieillard tout jeune tête nue,
Couvert d'un grand chapeau
Qui me dit sans parler :
Ah qu'il fait bon naviguer sur terre
Et voltiger dans l'onde.
Tout a coup j'aperçu un énorme éléphant
Qui voltigeait en gazouillant
Dans les branches touffues d'un poteau télégraphique
Je tire mon sabre et d'un coup de pistolet
Lancé d'une main sure
Je lui crève le ventre en pleine figure.
HISTOIRE A CONTRAIRES
C'était un soir d'été pendant l'hiver
Couché droit sur mon lit, je dormais éveillé
A la lueur d'un bec de gaz éteint.
Le tonnerre par son silence
Et les éclairs par leur obscurité
M'annonçaient leur présence.
C'est alors que je vis approcher de moi en reculant
Un vieillard tout jeune tête nue,
Couvert d'un grand chapeau
Qui me dit sans parler :
Ah qu'il fait bon naviguer sur terre
Et voltiger dans l'onde.
Tout a coup j'aperçu un énorme éléphant
Qui voltigeait en gazouillant
Dans les branches touffues d'un poteau télégraphique
Je tire mon sabre et d'un coup de pistolet
Lancé d'une main sure
Je lui crève le ventre en pleine figure.
ManonSouris
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dimanche 8 septembre 2013
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8 septembre 2013
8 sept. 2013 à 17:02
8 sept. 2013 à 17:02
Bonjour!
Voici la version que j'ai apprise au primaire. Je crois qu'il en manque des bouts!
Un jour, c'était une nuit, un jeune vieillard assis debout sur un rocher de bois contemplait les yeux fermés un soleil qui ne paraissait pas.
À l'orée d'un grand bois sans arbres, un nègre blanc lui dit : « Aime-tu mieux mourir ou perdre le souffle? ». Et il sortit son grand (épée) sabre de bois et le fusilla.
C'est assez différent des versions que j'ai lues dans cette conversation... Peut-être parce qu'elle a traversée l'océan jusqu'au "Nouveau monde"? ;-)
Voici la version que j'ai apprise au primaire. Je crois qu'il en manque des bouts!
Un jour, c'était une nuit, un jeune vieillard assis debout sur un rocher de bois contemplait les yeux fermés un soleil qui ne paraissait pas.
À l'orée d'un grand bois sans arbres, un nègre blanc lui dit : « Aime-tu mieux mourir ou perdre le souffle? ». Et il sortit son grand (épée) sabre de bois et le fusilla.
C'est assez différent des versions que j'ai lues dans cette conversation... Peut-être parce qu'elle a traversée l'océan jusqu'au "Nouveau monde"? ;-)
Ma nourrice me l'avait apprise lorsque j'étais petite, voici ce dont je me souviens :
Assis-debout-couché dans mon lit, je lisais un journal non-imprimé à la lueur d'une chandelle éteinte. J'entends un bruit au grenier ; je monte à la cave, je descends au grenier, et j'y découvre un nègre blanc qui déterrait les morts pour les manger vivants.
Assis-debout-couché dans mon lit, je lisais un journal non-imprimé à la lueur d'une chandelle éteinte. J'entends un bruit au grenier ; je monte à la cave, je descends au grenier, et j'y découvre un nègre blanc qui déterrait les morts pour les manger vivants.
bobylaDA
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mardi 10 décembre 2013
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10 décembre 2013
10 déc. 2013 à 15:54
10 déc. 2013 à 15:54
J'ai toujours appris une autre version
un jour c'était la nuit
j'étais assis debout dans mon lit
je lisais une page de journal non écrite
a la lueur d'une bougie éteinte
quand tout a coup je vis venir vers moi
un jeune vieillard tout nu habillé de blanc qui me dit
"si tu ne me rends pas ce que tu ne m'a pas pris
je te fais avaler le contenu d'une bouteille vide"
j'eu peur d'avoir peur et saisissant un couteau par le manche du bout
je lui enfonçai dans la tête en plein coeur.
un jour c'était la nuit
j'étais assis debout dans mon lit
je lisais une page de journal non écrite
a la lueur d'une bougie éteinte
quand tout a coup je vis venir vers moi
un jeune vieillard tout nu habillé de blanc qui me dit
"si tu ne me rends pas ce que tu ne m'a pas pris
je te fais avaler le contenu d'une bouteille vide"
j'eu peur d'avoir peur et saisissant un couteau par le manche du bout
je lui enfonçai dans la tête en plein coeur.
Voici une reconstitution qui ne correspond en rien à l'original à partir de vos messages, n'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez. C'était un soir d'été, la veille de Noël
J'étais debout assis sur le bord au milieu de mon lit.
Dehors le tonnerre grondait en silence. Je croyais apercevoir l'ombre d'un éclair au travers des volets fermés à clé, curieux de ne pas vouloir lever ce doute qui planait à terre, je me saisissais d'un verre plein pour le boire vide à l'aide d'une paille pleine ; et j'ouvris les volets.
Dehors un jeune vieillard, tout nu habillé de blanc, assis sur une pierre de bois, et lisait, les mains dans les poches, un journal censuré à la lueur d'un réverbere éteint . Je le contemplais les yeux fermés. Un homme passe : c'était sa femme dont la mère n'était pas encore née. Il lui dit : « je préfère mourir que de perdre la vie »
Soudain l'homme entendit un léger bruit : BOUUM. C'était un hippopotame qui volait de branches en branches. L'homme pris son épée et le fusilla, l'animal tomba et quand il se releva il était mort.
Le capitaine des pompiers qui passait par là, dans une lointaine contrée, pleurait dans son casque. Quand le casque fut plein, une goutte tomba sur un noyaux d'olive denoyautée et germa.
C'était beau mais c'était triste.
Le pompier avança à reculons et d'un coup de pied de la main sûre, creva le ventre du vieillard en pleine figure.
Pendant ce temps, un éléphant gazouillait sur les branches fleuries d'un poteau télégraphique.
Quant à moi je montais quatre à quatre les trois marches qui menaient à la cave pour descendre au grenier. Je regardais par le trou de la serrure qui était bouchée et je vis un nègre blanc ; à la recherche de chair fraîche de 15 ans ; qui déterrait les morts pour les manger vivant. Puis je regagnais mon lit en plein milieu de la cuisine en attendant que cette nit étrange laisse la place à un nouveau jour.
J'étais debout assis sur le bord au milieu de mon lit.
Dehors le tonnerre grondait en silence. Je croyais apercevoir l'ombre d'un éclair au travers des volets fermés à clé, curieux de ne pas vouloir lever ce doute qui planait à terre, je me saisissais d'un verre plein pour le boire vide à l'aide d'une paille pleine ; et j'ouvris les volets.
Dehors un jeune vieillard, tout nu habillé de blanc, assis sur une pierre de bois, et lisait, les mains dans les poches, un journal censuré à la lueur d'un réverbere éteint . Je le contemplais les yeux fermés. Un homme passe : c'était sa femme dont la mère n'était pas encore née. Il lui dit : « je préfère mourir que de perdre la vie »
Soudain l'homme entendit un léger bruit : BOUUM. C'était un hippopotame qui volait de branches en branches. L'homme pris son épée et le fusilla, l'animal tomba et quand il se releva il était mort.
Le capitaine des pompiers qui passait par là, dans une lointaine contrée, pleurait dans son casque. Quand le casque fut plein, une goutte tomba sur un noyaux d'olive denoyautée et germa.
C'était beau mais c'était triste.
Le pompier avança à reculons et d'un coup de pied de la main sûre, creva le ventre du vieillard en pleine figure.
Pendant ce temps, un éléphant gazouillait sur les branches fleuries d'un poteau télégraphique.
Quant à moi je montais quatre à quatre les trois marches qui menaient à la cave pour descendre au grenier. Je regardais par le trou de la serrure qui était bouchée et je vis un nègre blanc ; à la recherche de chair fraîche de 15 ans ; qui déterrait les morts pour les manger vivant. Puis je regagnais mon lit en plein milieu de la cuisine en attendant que cette nit étrange laisse la place à un nouveau jour.
bèbècinq
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5 août 2015
28 févr. 2014 à 06:34
28 févr. 2014 à 06:34
Bonjour,Assis,debout,au coin d'une table ronde, a la lueur d'une bougie èteinte,papa lisait son journal pliè en quatres dans sa poche.Il entendit du bruit a la cave ,il courru vite au grenier.Là ,il vit des noirs tout blancs qui dètèraient les morts vivants pour les manger tout crus .
Un jour où c'était la nuit
J'étais assis couché sur un lit de pierre en bois
En train de lire mon journal non-imprimé
A la lueur d'un bec de gaz éteint
Tout à coup, j'entendis un cri de lion... C'était un rat
Alors je pris mon couteau à six coups
Ainsi que mon revolver à six lames
Et d'un coup de pied lancé d'une main sûre
Je lui crève le coeur en pleine figure
La version de mon grand père
J'étais assis couché sur un lit de pierre en bois
En train de lire mon journal non-imprimé
A la lueur d'un bec de gaz éteint
Tout à coup, j'entendis un cri de lion... C'était un rat
Alors je pris mon couteau à six coups
Ainsi que mon revolver à six lames
Et d'un coup de pied lancé d'une main sûre
Je lui crève le coeur en pleine figure
La version de mon grand père
Une version que mon père me racontait avant d'aller me coucher.
c'était un jour où il faisait nuit
j'étais assis couché dans mon lit
Lorsqu'un jeune vieillard s'avança vers moi en reculant
Et me dit en fermant la bouche
C'était en 1515
15 voleurs attendaient 15 voyageurs qui ne devaient jamais venir
c'était beau, mais c'était triste
jusqu'au capitaine des pompiers
qui en pleurait dans son casque
c'était un jour où il faisait nuit
j'étais assis couché dans mon lit
Lorsqu'un jeune vieillard s'avança vers moi en reculant
Et me dit en fermant la bouche
C'était en 1515
15 voleurs attendaient 15 voyageurs qui ne devaient jamais venir
c'était beau, mais c'était triste
jusqu'au capitaine des pompiers
qui en pleurait dans son casque
Eljako
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samedi 25 avril 2015
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25 avril 2015
25 avril 2015 à 01:02
25 avril 2015 à 01:02
Un jour, c'était la nuit, j'arrive dans un village sans maisons. Assis debout sur un banc de pierre en bois, un vieux jeune grand père lisais son journal plier en quatre dans sa poche à la
Lueur d'un réverbère éteint. Il rêvait de la mort de ses deux fils encore vivants. L'un s'était brûlé la langue en mangeant de la soupe froide,et l'autre était devenu fou en regardant les éléphants qui gazouillaient sur les branches touffues des poteaux télégraphiques. Il entend du bruit au grenier et monte à la cave et regarde par trou de la serrure bouchée, et vois un négro tout blanc qui déterrait les morts pour les manger vivants.
Lueur d'un réverbère éteint. Il rêvait de la mort de ses deux fils encore vivants. L'un s'était brûlé la langue en mangeant de la soupe froide,et l'autre était devenu fou en regardant les éléphants qui gazouillaient sur les branches touffues des poteaux télégraphiques. Il entend du bruit au grenier et monte à la cave et regarde par trou de la serrure bouchée, et vois un négro tout blanc qui déterrait les morts pour les manger vivants.
saumonboiteux
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mercredi 19 août 2015
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19 août 2015
19 août 2015 à 19:36
19 août 2015 à 19:36
Un jour qu'il faisait nuit
Et que debout, je me couchais dans mon lit,
J'aperçus dans la chambre une noire lumière
Qui, par l'éclat brillant de son obscurité
Répandait dans la pièce une obscure clarté
Chaussé de mon bonnet
Coiffé de mes galoches
Je m'habille tout nu
Les deux mains dans les poches
Puis attelant mon char
À mes quatre chevaux
D'un noir de neige
Et d'un blanc de pruneaux
Je monte l'équipage
Et passe dans les airs
Le Mont Blanc à la nage...
Source : Anne Labrunie (Il manque sans doute un vers... Je crois qu'il existe plusieurs versions de ce poème oxymoronesque. C'est Robert Desnos, si je ne m'abuse, qui avait ouvert le bal...
Et que debout, je me couchais dans mon lit,
J'aperçus dans la chambre une noire lumière
Qui, par l'éclat brillant de son obscurité
Répandait dans la pièce une obscure clarté
Chaussé de mon bonnet
Coiffé de mes galoches
Je m'habille tout nu
Les deux mains dans les poches
Puis attelant mon char
À mes quatre chevaux
D'un noir de neige
Et d'un blanc de pruneaux
Je monte l'équipage
Et passe dans les airs
Le Mont Blanc à la nage...
Source : Anne Labrunie (Il manque sans doute un vers... Je crois qu'il existe plusieurs versions de ce poème oxymoronesque. C'est Robert Desnos, si je ne m'abuse, qui avait ouvert le bal...
Un jeune vieillard assis debout, sur un rocher de bois, regardait,les 2 yeux fermés, un éléphant qui voltigeais dans les branches d'un poteau de téléphone....
bediere74
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7 janvier 2017
7 janv. 2017 à 19:23
7 janv. 2017 à 19:23
c'est drôle car cela est une figure de style un peu récurrente. Je vous livre ici une version de ma grand mère née en en 1871 et décédée en 1969.
c'est une chanson;
Un jour la nuit que je dormais mon père
me dit allons Jacob réveille toi
vas donc porter ce bouillon à ta mère
qui est bien malade là bas dans ce p'tit pot.
Pour vous montrer ma grande maladresse
je renversais les assiettes et les plats
je fit une tache sur ma robe de graisse
sur mon bonnet que mon grand père de laine
m'avait donné avant de mourir violet,
ce pauvre cher homme est mort de la migraine
tenant une cuisse dans sa bouche de poulet.
Mais le plus drôle, c'est qu'en tapant ce texte dont il me manque une phrase
depuis des années, d'où ma présence sur ce forum, je crois que je l'ai complètement retrouvé, enfin presque. il y a quelque chose qui cloche avec la musique avec le bonnet
c'est une chanson;
Un jour la nuit que je dormais mon père
me dit allons Jacob réveille toi
vas donc porter ce bouillon à ta mère
qui est bien malade là bas dans ce p'tit pot.
Pour vous montrer ma grande maladresse
je renversais les assiettes et les plats
je fit une tache sur ma robe de graisse
sur mon bonnet que mon grand père de laine
m'avait donné avant de mourir violet,
ce pauvre cher homme est mort de la migraine
tenant une cuisse dans sa bouche de poulet.
Mais le plus drôle, c'est qu'en tapant ce texte dont il me manque une phrase
depuis des années, d'où ma présence sur ce forum, je crois que je l'ai complètement retrouvé, enfin presque. il y a quelque chose qui cloche avec la musique avec le bonnet
Bonsoir,
moi je me souviens de ce "récit" que connaissait mon père, et qu'il me racontait il y a presque 40 ans :
" C'était le 31 Décembre du mois de Février,
J'étais couché à plat ventre, sur le dos du côté,
Je lisais un journal non imprimé, à la lueur d'une bougie éteinte.
Le Tonnerre gronda en silence.
La pluie dura 5 jours, 5 nuits, ce qui intéressa l'incendie.
Soudain, les bambins crièrent : " Au feu, Au feu !!"
Les Pompiers arrivèrent, leurs lances chargées de Pétrole et d'essence,
Ils purent éteindre le feu, 3 jours avant l'incendie. "
moi je me souviens de ce "récit" que connaissait mon père, et qu'il me racontait il y a presque 40 ans :
" C'était le 31 Décembre du mois de Février,
J'étais couché à plat ventre, sur le dos du côté,
Je lisais un journal non imprimé, à la lueur d'une bougie éteinte.
Le Tonnerre gronda en silence.
La pluie dura 5 jours, 5 nuits, ce qui intéressa l'incendie.
Soudain, les bambins crièrent : " Au feu, Au feu !!"
Les Pompiers arrivèrent, leurs lances chargées de Pétrole et d'essence,
Ils purent éteindre le feu, 3 jours avant l'incendie. "
Un jour c' était la nuit
Le tonnerre grondait en silence
J' étais assis debout
dans un coin au milieu de ma chambre
en train de lire dans un livre fermé
à la lueur d' une chandelle éteinte
Quand tout-à-coup je vis loin près de moi
assis sur une pierre de bois
un cadavre vivant
tout nu les mains dans ses poches
Le tonnerre grondait en silence
J' étais assis debout
dans un coin au milieu de ma chambre
en train de lire dans un livre fermé
à la lueur d' une chandelle éteinte
Quand tout-à-coup je vis loin près de moi
assis sur une pierre de bois
un cadavre vivant
tout nu les mains dans ses poches