Je recherche la suite de ce passage dont je me rappelle par coeur

Résolu
Utilisateur anonyme - Modifié par charlene-v le 17/06/2016 à 15:32
 Marilor - 19 nov. 2024 à 21:05
Bonjour,

"assis dans un coin au milieu de la pièce il lisait un livre fermé à la lueur d'une chandelle éteinte. Un éclair obscur illumina la pièce l'orage grondait en silence.... "

86 réponses

Un jour pendant la nuit, un vieillard âgé de 20 ans, assit sur un banc de pierre en bois, il lisait son journal plié en 4, dans sa poche a la lueur d'une bougie éteinte. Il entendit du bruit au grenier, il descendit à la cave. Il regarda par un trou de serrure bouché, il vit un nègre blanc qui déterrait les morts pour les manger vivants.Pendant ce temps, un sanglier de 300 kilos sautillait de branche en branche sur un poteau télégraphique en fleur.
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mais y a t il une suite ??????
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Suite possible
Entra une femme toute nue avec une robe des bas et un chapeau qui lui dit sans causer retient bien sans te rappeler ce que je vais te dire sans parler ,j'ai fait 10 ans de bagne à perpétuité j'en suis sortie saine et sauve avec les jambes cassées ....?
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Assis debout couché sur Un banc de Pierre en bois je lisais mon journal plié en 4 dans ma poche à la lueur d'un bec de gaz éteind. J'entend du bruit à la cave, je descend au grenier et je regarde par la serrure bouché et je vois des nègres blancs qui déterrent des morts pour les manger vivants.
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Voici la version que l’on me racontait

Un jour alors qu’il faisait nuit
Assis debout sur une pierre en bois
Un vieillard nouveau né
Lisait un journal pas encore écrit
À la lueure d’une chandelle éteinte
Soudain, il entendit un grand bruit silencieux
Il descendi les escaliers pour monter de la cave au grenier
Où il vit un nain géant qui déterrait les morts pour les manger vivant
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L'autre soir de bon matin
Je lisais à la lueur d'une bougie éteinte un journal plié en 4 dans ma poche
J'y lisais la mort de mon petit fils qui n'était pas né
Soudain se fit un grand silence
Je descendit au grenier pour monter à la cave
Et que vis je par le trou de serrure bouche
Un negre blanc qui deterrait les orts pour les manger vivants
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Un homme assis debout sur une roche de bois s’exclame a voix basse j’aimerais mieux mourir que de perdre la vie...
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La mienne était : un vieu jeune homme, assis debout sur une pierre carré ronde en bois, lisait son journal pas imprimé a la lueur d'une bougie éteinte. Cette homme, cetait ma mère, elle me dit, te souviens tu, sans tant rapeller, de cette immense forêt composé de 3 poteaux électriques. ... (et si kelkun connait la suite, je suis preneur) bonne soirée
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C'est fascinant de voir que chaque personne à une version qui lui est propre, ce serait intéressant d'en savoir l'origine.

Voici la version que j'ai apprise de mon père :

Assis debout couché sur un banc de pierre en bois, un jeune homme étant vieux lisait la mort de son fils qui n'était pas encore né sur un journal non imprimé. Il descendit à la cave et monta au grenier, il y vit un nègre blanc qui déterrait les morts pour les manger vivants.

Ce texte m'a toujours fait froid dans le dos mais me fascine toujours..
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Pascqual Messages postés 1 Date d'inscription vendredi 8 janvier 2021 Statut Membre Dernière intervention 8 janvier 2021
Modifié le 8 janv. 2021 à 03:12
Pour moi depuis bien longtemps, depuis mon enfance c’est cette histoire là que je connais


Mon grand père ce vieillard encore tout jeune, lisait son journal plié en quatre dans sa poche à la lueur d’une chandelle éteinte....il me dit.
Tu vois ce point blanc là-bas.....c’est la jument noire de ta grand mère.

Assis, debout, couché dans mon lit, j’entends du bruit au grenier, je monte à la cave et quesque je vois ? Un noir tout blanc qui déterre les morts pour les manger vivants.
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Un jour qu'il faisait nuit, un jeune vieillard de quatre vingt dix ans s'assit debout sur une pierre en bois . Il lisait un journal non imprimé à la lueur d'une bougie éteinte . Il monta à la cave au grenier . Regardant par le trou de le serrure bouchée, il vit un noir blanc, qui déterrait les morts pour les manger vivants .
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Ce dont je me souviens, d'après mon grand père c'était :
"Un jour sans lumière,
Je lisais un livre aux pages blanches
À la lumière d'une lampe qui ne marchait pas."
Ça fait longtemps donc peut-être que ma mémoire a modifié certains termes... Mais en gros c'était ça.
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Voici la version de ma mère qui a 90 ans. malgré son age elle s'en souvient par cœur. Elle l'a apprise a l’école:

Un jour qu’il faisait nuit,
j’étais debout étendue dans mon lit.
Je lisais un livre fermé,
à la lueur d’une lampe éteinte.
Soudain par le trou de la serrure bouché,
je vis un jeune vieillard,
au cheveux blancs tout noir,
qui disait :
Depuis 20 ans de grâce et de travaux forcés,
je reviens saint et sauf avec les reins brisés.
Il sortit de son sac un révolver,
et abattit à coups de poignard un éléphant ,
qui voltigeait sur les ligne téléphoniques.
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Depuis que je suis petite, la version de mon père est celle-ci :
Un jour c'était la nuit. Un jeune vieillard était debout, assis sur un banc il lisait son journal plié en 4 dans sa poche à la lueur d'une bougie éteinte. Il entendit du bruit à la cave, il descendit donc au grenier, il regarda par le trou de la serrure bouchée, il vit 2 nègres blancs, déterrer des morts pour les manger vivants.
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Moi c'était : un homme assis debout sur une pierre carré ronde en bois lisez son journal pas encore imprimé à la lueur d'une bougie éteinte. Cette homme, c'était ma mère.  Elle me dit, te souviens tu, tu rappelle de cette immense forêt de 3 poteaux électrique...

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L histoire originale  commence par:

Il était une fois quatorze bandits assis sur quinze  rochers qui attendait des passants qui ne devaient  jamais passer. 

Le commandant  dit à son lieutenant<antonio>. Raconte nous une histoire toi qui les sait si bien et qui les raconte si mal

Antonio se Leva cracha moucha toussa et raconta 

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bonsoir, il était une fois,un vieillard agé de 18 ans assis sur un banc de pierre en bois , lisait un journal plié en quatre dans sa poche, il descend au grenier pour monter a la cave éclairé a la lueur d un bec de gaz éteint, regarde par le trou de la serrure bouché et voit deux nègres blancs entrain de manger un cadavre vivant philippe de saint- malo

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Je connais : "C'était un jour qu'il faisait nuit. J'étais debout, couché dans mon lit, lisant à la lueur d'une chandelle éteinte dans un livre fermé.

Tout à coup, une femme entra : c'était mon père. Revenu plein de gloire des travaux forcés, il me dit en s’arrachant les cheveux de sa tête chauve : "rends-moi ce que tu ne m’as pas pris".

Pendant ce temps, je regardais les éléphanteaux qui voltigeaient sur les branches en fleurs des poteaux télégraphiques".

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Bonjour, j'ai autre chose

Un jour qu'il faisait nuit

Je dormais éveillé ds mon lit

À la lueur d'une chandelle éteinte, 

Je lisais ds un livre fermé

Quand tt à coup, un orage grandit en silence

et les éclairs me faisaient voir qu'en dormant je ne dormais pas.... 

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" Un jour, en pleine nuit,

Un jour, en peine nuit,

un vieillard nouveau né

assis debout sur une pierre en bois,

lisait un livre fermé à la lueur d'une chandelle éteinte.

Il entendit un grand bruit silencieux.

Il monta l'escalier pour descendre à la cave

et vit un nain géant déterrer les morts,

pour les manger vivants."

Ceci étant, je suis également à la recherche du nom de ce type de poème.

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Voici la version que me contait mon Grand-Père :

"Un jour, c'était la nuit. Tout tremblait, mais rien ne bougeait.

Tout à coup j'entends un bruit à la cave. Vite, je descends au grenier !

Là, je vois un rat mort, en train de lire son journal,

Plié en quatre dans sa poche, à la lueur d'une chandelle éteinte ..."

Que de souvenirs !

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