Je recherche la suite de ce passage dont je me rappelle par coeur
Résolu- Un jeune vieillard assis debout sur un banc de pierre en bois
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86 réponses
Entra une femme toute nue avec une robe des bas et un chapeau qui lui dit sans causer retient bien sans te rappeler ce que je vais te dire sans parler ,j'ai fait 10 ans de bagne à perpétuité j'en suis sortie saine et sauve avec les jambes cassées ....?
Un jour alors qu’il faisait nuit
Assis debout sur une pierre en bois
Un vieillard nouveau né
Lisait un journal pas encore écrit
À la lueure d’une chandelle éteinte
Soudain, il entendit un grand bruit silencieux
Il descendi les escaliers pour monter de la cave au grenier
Où il vit un nain géant qui déterrait les morts pour les manger vivant
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Posez votre questionJe lisais à la lueur d'une bougie éteinte un journal plié en 4 dans ma poche
J'y lisais la mort de mon petit fils qui n'était pas né
Soudain se fit un grand silence
Je descendit au grenier pour monter à la cave
Et que vis je par le trou de serrure bouche
Un negre blanc qui deterrait les orts pour les manger vivants
Voici la version que j'ai apprise de mon père :
Assis debout couché sur un banc de pierre en bois, un jeune homme étant vieux lisait la mort de son fils qui n'était pas encore né sur un journal non imprimé. Il descendit à la cave et monta au grenier, il y vit un nègre blanc qui déterrait les morts pour les manger vivants.
Ce texte m'a toujours fait froid dans le dos mais me fascine toujours..
Modifié le 8 janv. 2021 à 03:12
Mon grand père ce vieillard encore tout jeune, lisait son journal plié en quatre dans sa poche à la lueur d’une chandelle éteinte....il me dit.
Tu vois ce point blanc là-bas.....c’est la jument noire de ta grand mère.
Assis, debout, couché dans mon lit, j’entends du bruit au grenier, je monte à la cave et quesque je vois ? Un noir tout blanc qui déterre les morts pour les manger vivants.
"Un jour sans lumière,
Je lisais un livre aux pages blanches
À la lumière d'une lampe qui ne marchait pas."
Ça fait longtemps donc peut-être que ma mémoire a modifié certains termes... Mais en gros c'était ça.
Un jour qu’il faisait nuit,
j’étais debout étendue dans mon lit.
Je lisais un livre fermé,
à la lueur d’une lampe éteinte.
Soudain par le trou de la serrure bouché,
je vis un jeune vieillard,
au cheveux blancs tout noir,
qui disait :
Depuis 20 ans de grâce et de travaux forcés,
je reviens saint et sauf avec les reins brisés.
Il sortit de son sac un révolver,
et abattit à coups de poignard un éléphant ,
qui voltigeait sur les ligne téléphoniques.
Un jour c'était la nuit. Un jeune vieillard était debout, assis sur un banc il lisait son journal plié en 4 dans sa poche à la lueur d'une bougie éteinte. Il entendit du bruit à la cave, il descendit donc au grenier, il regarda par le trou de la serrure bouchée, il vit 2 nègres blancs, déterrer des morts pour les manger vivants.
Moi c'était : un homme assis debout sur une pierre carré ronde en bois lisez son journal pas encore imprimé à la lueur d'une bougie éteinte. Cette homme, c'était ma mère. Elle me dit, te souviens tu, tu rappelle de cette immense forêt de 3 poteaux électrique...
L histoire originale commence par:
Il était une fois quatorze bandits assis sur quinze rochers qui attendait des passants qui ne devaient jamais passer.
Le commandant dit à son lieutenant<antonio>. Raconte nous une histoire toi qui les sait si bien et qui les raconte si mal
Antonio se Leva cracha moucha toussa et raconta
bonsoir, il était une fois,un vieillard agé de 18 ans assis sur un banc de pierre en bois , lisait un journal plié en quatre dans sa poche, il descend au grenier pour monter a la cave éclairé a la lueur d un bec de gaz éteint, regarde par le trou de la serrure bouché et voit deux nègres blancs entrain de manger un cadavre vivant philippe de saint- malo
Je connais : "C'était un jour qu'il faisait nuit. J'étais debout, couché dans mon lit, lisant à la lueur d'une chandelle éteinte dans un livre fermé.
Tout à coup, une femme entra : c'était mon père. Revenu plein de gloire des travaux forcés, il me dit en s’arrachant les cheveux de sa tête chauve : "rends-moi ce que tu ne m’as pas pris".
Pendant ce temps, je regardais les éléphanteaux qui voltigeaient sur les branches en fleurs des poteaux télégraphiques".
Bonjour, j'ai autre chose
Un jour qu'il faisait nuit
Je dormais éveillé ds mon lit
À la lueur d'une chandelle éteinte,
Je lisais ds un livre fermé
Quand tt à coup, un orage grandit en silence
et les éclairs me faisaient voir qu'en dormant je ne dormais pas....
" Un jour, en pleine nuit,
Un jour, en peine nuit,
un vieillard nouveau né
assis debout sur une pierre en bois,
lisait un livre fermé à la lueur d'une chandelle éteinte.
Il entendit un grand bruit silencieux.
Il monta l'escalier pour descendre à la cave
et vit un nain géant déterrer les morts,
pour les manger vivants."
Ceci étant, je suis également à la recherche du nom de ce type de poème.
Voici la version que me contait mon Grand-Père :
"Un jour, c'était la nuit. Tout tremblait, mais rien ne bougeait.
Tout à coup j'entends un bruit à la cave. Vite, je descends au grenier !
Là, je vois un rat mort, en train de lire son journal,
Plié en quatre dans sa poche, à la lueur d'une chandelle éteinte ..."
Que de souvenirs !
27 mai 2018 à 18:44